PARIS (Reuters) - Près de 300 personnes ont été placées en garde à vue en France à la suite des incidents qui ont marqué dimanche soir les célébrations de la victoire de l'équipe de France de football en finale de la Coupe du Monde et ont fait un blessé grave à Paris, a-t-on appris auprès du ministère de l'Intérieur et de la préfecture de Paris.
A Annecy (Haute-Savoie), un homme de 50 ans qui fêtait la victoire s'est tué en sautant dans un canal où la hauteur de l'eau n'était que de 50 centimètres.
A Paris, 102 personnes ont été interpellées dont 90 placées en garde à vue.
Des échauffourées ont opposé les forces de l'ordre à des casseurs qui ont dégradé et pillé des magasins, endommagé des voitures, dans le quartier des Champs-Elysées où des centaines de milliers de supporters s'étaient rassemblés pour fêter le sacre de la France.
Douze à quinze enseignes de l'avenue ont été vandalisées (vitrines brisées, dégradations diverses, vols), a précisé la préfecture de police.
Une rixe entre deux groupes violents en haut des Champs-Elysées a fait un blessé grave, a-t-on précisé.
Des incidents sont survenus dans plusieurs villes de province : Lyon, Marseille, Mulhouse, Nantes, Strasbourg.
Quarante-cinq policiers et gendarmes ont été blessés mais aucun grièvement.
"Il n'y a pas eu d'incident significatif pendant la journée et la soirée qui ont été essentiellement festives et bon enfant. Néanmoins il y a eu quelques débordements dans certaines grandes villes", déclare-t-on au ministère de l'Intérieur.
A Lyon, 30 personnes ont été interpellées et placées en garde à vue à la suite de heurts autour de la "fan zone" de la place Bellecour entre la police et une centaine de casseurs qui s'en sont pris notamment à un camion d'intervention. Les policiers ont répliqué aux tirs de projectiles, dont des bouteilles de verre, par des jets de gaz lacrymogène.
La préfecture du Rhône a fait état d'"incendies de poubelles, de dégradations de mobilier urbain, d'attaques de commerces en centre-ville, de bris de vitrines de grands magasins, et du pillage d’un magasin de vêtements".
Treize véhicules ont été incendiés, et huit autres atteints par propagation.
Parmi les 30 personnes placées en garde à vue, "dix-huit l’ont été pour vols par effraction", précise encore la préfecture.
Onze policiers ont été légèrement blessés dans les affrontements.
A Annecy (Haute-Savoie), un homme de 50 ans qui fêtait la victoire s'est tué en sautant dans un canal où la hauteur de l'eau n'était que de 50 centimètres.
A Paris, 102 personnes ont été interpellées dont 90 placées en garde à vue.
Des échauffourées ont opposé les forces de l'ordre à des casseurs qui ont dégradé et pillé des magasins, endommagé des voitures, dans le quartier des Champs-Elysées où des centaines de milliers de supporters s'étaient rassemblés pour fêter le sacre de la France.
Douze à quinze enseignes de l'avenue ont été vandalisées (vitrines brisées, dégradations diverses, vols), a précisé la préfecture de police.
Une rixe entre deux groupes violents en haut des Champs-Elysées a fait un blessé grave, a-t-on précisé.
Des incidents sont survenus dans plusieurs villes de province : Lyon, Marseille, Mulhouse, Nantes, Strasbourg.
Quarante-cinq policiers et gendarmes ont été blessés mais aucun grièvement.
"Il n'y a pas eu d'incident significatif pendant la journée et la soirée qui ont été essentiellement festives et bon enfant. Néanmoins il y a eu quelques débordements dans certaines grandes villes", déclare-t-on au ministère de l'Intérieur.
A Lyon, 30 personnes ont été interpellées et placées en garde à vue à la suite de heurts autour de la "fan zone" de la place Bellecour entre la police et une centaine de casseurs qui s'en sont pris notamment à un camion d'intervention. Les policiers ont répliqué aux tirs de projectiles, dont des bouteilles de verre, par des jets de gaz lacrymogène.
La préfecture du Rhône a fait état d'"incendies de poubelles, de dégradations de mobilier urbain, d'attaques de commerces en centre-ville, de bris de vitrines de grands magasins, et du pillage d’un magasin de vêtements".
Treize véhicules ont été incendiés, et huit autres atteints par propagation.
Parmi les 30 personnes placées en garde à vue, "dix-huit l’ont été pour vols par effraction", précise encore la préfecture.
Onze policiers ont été légèrement blessés dans les affrontements.