PARIS (Reuters) - Un peu plus d'un tiers des Français soutiennent le mouvement de grève des cheminots contre la réforme du secteur ferroviaire, un appui en déclin par rapport au mois de mai, selon le baromètre Ifop du Journal du Dimanche.
Selon le sondage, réalisé en ligne du 13 au 15 juin auprès d'un échantillon de 1.004 personnes, 37 % des Français trouvent le mouvement de grève "justifié". Cette proportion était de 42% pendant le mois de mai et de 47% au plus fort du mouvement en avril.
Les deux tiers des Français disent souhaiter que le gouvernement aille jusqu’au bout de la réforme telle qu’elle a été annoncée, sans céder aux mobilisations, une statistique stable depuis le début du mouvement.
Le mouvement de grève de la SNCF, lancé le 3 avril, entre dimanche dans son seizième épisode. Il devait se terminer le 28 juin mais la CGT a déjà appelé à de nouvelles dates en juillet après une rencontre avec le gouvernement et le patronat sur la nouvelle convention collective du secteur, jugée peu concluante.
L'unité syndicale bat toutefois de l'aile. La CFDT a demandé aux cheminots des trains quotidiens (TER et RER) de ne pas perturber le trafic pendant la semaine du baccalauréat, soit les lundi 18 et vendredi 22 juin selon le calendrier de débrayage.
La CFDT et l'UNSA estiment avoir obtenu des avancées lors de la rencontre tripartite de vendredi dernier. Elles feront toutes deux connaître leur position sur l'avenir de la grève mardi.
Selon le sondage, réalisé en ligne du 13 au 15 juin auprès d'un échantillon de 1.004 personnes, 37 % des Français trouvent le mouvement de grève "justifié". Cette proportion était de 42% pendant le mois de mai et de 47% au plus fort du mouvement en avril.
Les deux tiers des Français disent souhaiter que le gouvernement aille jusqu’au bout de la réforme telle qu’elle a été annoncée, sans céder aux mobilisations, une statistique stable depuis le début du mouvement.
Le mouvement de grève de la SNCF, lancé le 3 avril, entre dimanche dans son seizième épisode. Il devait se terminer le 28 juin mais la CGT a déjà appelé à de nouvelles dates en juillet après une rencontre avec le gouvernement et le patronat sur la nouvelle convention collective du secteur, jugée peu concluante.
L'unité syndicale bat toutefois de l'aile. La CFDT a demandé aux cheminots des trains quotidiens (TER et RER) de ne pas perturber le trafic pendant la semaine du baccalauréat, soit les lundi 18 et vendredi 22 juin selon le calendrier de débrayage.
La CFDT et l'UNSA estiment avoir obtenu des avancées lors de la rencontre tripartite de vendredi dernier. Elles feront toutes deux connaître leur position sur l'avenir de la grève mardi.