«Embarqué, à son corps défendant, dans une affaire « privée » (Dieu merci, elle n’est « que » privée !), le Gign a rapidement mené par 3-0 sur des buts inscrits en flagrante position de hors-jeu, avec un manque de fair-play révoltant, encouragé par un arbitrage scandaleux et partial.
«C’était sans compter sur la résilience et l’intelligence manœuvrière de Ousmane Sonko qui a su, à lui seul, renverser la vapeur par son calme olympien et une ténacité à toute épreuve, mais également sur la bravoure et la détermination du collectif de ses défenseurs – les jeunes fantassins au premier rang – qui ont su rester fidèles aux traditions d’honneur, de bravoure et de résistance du barreau du Sénégal face à la tyrannie, l’arbitraire et l’injustice.
«Au final, ça a donné une fantastique Remontada que l’histoire retiendra en ce 5 mars 2021, date-repère s’il en est.
«Retour à la case départ et on repart de zéro, après cette vaine débauche d’énergie des trois pouvoirs Exécutif, Législatif et Judiciaire ligués dans une affaire « privée » (heureusement qu’elle ne sort pas de ce cadre privé !) contre un homme seul et un seul homme !
«D’abord calomnié dans une sordide affaire criminelle sans queue, ni tête – strictement « privée », insistons là-dessus – ensuite capturé en pleine circulation pour une garde à vue de transition, alors qu’il se rendait au tribunal pour laver son honneur des souillures de cette minable accusation, enlevé enfin à l’heure du laitier pour une séquestration ratée dans le bureau d’un juge suspecté de partialité, Ousmane Sonko a réduit à sa plus simple expression un complot voué à son embastillement en toute clandestinité.
Le plan de la Camarilla composite ayant buté depuis le premier jour de sa conception sur un homme infrangible, Dieu voulant, ce lundi 8 mars, la confrontation entrera dans sa phase décisive.
Début du compte à rebours. Mais quoi qu’il advienne, la leçon du sage devra être retenue : ‘’Ils ignorèrent ce principe mécanique si simple qui voudrait qu’en comprimant un ressort de bon acier, on ne l’anéantit pas. Au contraire, on lui donne les moyens, en se propulsant, de montrer sa puissance et sa force.’’
LA DICTATURE NE PASSERA PAS.»
Me Khoureyssi Ba
«C’était sans compter sur la résilience et l’intelligence manœuvrière de Ousmane Sonko qui a su, à lui seul, renverser la vapeur par son calme olympien et une ténacité à toute épreuve, mais également sur la bravoure et la détermination du collectif de ses défenseurs – les jeunes fantassins au premier rang – qui ont su rester fidèles aux traditions d’honneur, de bravoure et de résistance du barreau du Sénégal face à la tyrannie, l’arbitraire et l’injustice.
«Au final, ça a donné une fantastique Remontada que l’histoire retiendra en ce 5 mars 2021, date-repère s’il en est.
«Retour à la case départ et on repart de zéro, après cette vaine débauche d’énergie des trois pouvoirs Exécutif, Législatif et Judiciaire ligués dans une affaire « privée » (heureusement qu’elle ne sort pas de ce cadre privé !) contre un homme seul et un seul homme !
«D’abord calomnié dans une sordide affaire criminelle sans queue, ni tête – strictement « privée », insistons là-dessus – ensuite capturé en pleine circulation pour une garde à vue de transition, alors qu’il se rendait au tribunal pour laver son honneur des souillures de cette minable accusation, enlevé enfin à l’heure du laitier pour une séquestration ratée dans le bureau d’un juge suspecté de partialité, Ousmane Sonko a réduit à sa plus simple expression un complot voué à son embastillement en toute clandestinité.
Le plan de la Camarilla composite ayant buté depuis le premier jour de sa conception sur un homme infrangible, Dieu voulant, ce lundi 8 mars, la confrontation entrera dans sa phase décisive.
Début du compte à rebours. Mais quoi qu’il advienne, la leçon du sage devra être retenue : ‘’Ils ignorèrent ce principe mécanique si simple qui voudrait qu’en comprimant un ressort de bon acier, on ne l’anéantit pas. Au contraire, on lui donne les moyens, en se propulsant, de montrer sa puissance et sa force.’’
LA DICTATURE NE PASSERA PAS.»
Me Khoureyssi Ba