L’incendie qui s’est déclenché dimanche sur Table Mountain en Afrique du Sud, sommet emblématique surplombant le Cap, se dirigeait lundi vers le centre de la ville, après avoir ravagé une collection unique d’archives africaines.
« Le feu n’est pas encore sous contrôle », a déclaré le porte-parole des pompiers du Cap, Jermaine Carelse, dans un communiqué diffusé par la Ville.
Des vents violents ont jusqu’à présent empêché toute intervention aérienne et poussé les flammes vers l’Ouest, en direction du centre-ville, selon les secours.
Les écoles de la banlieue de Vredehoek, à environ trois kilomètres de l’Université du Cap (UCT) ont reçu l’ordre d’évacuer.
Une enquête sur l’origine de l’incendie, qui n’a pas fait de victime, a été ouverte. Un suspect a été placé en garde à vue, ont annoncé les autorités locales.
Le feu, qui s’est déclaré au pied de Table Mountain dimanche matin, s’est propagé dans la journée à l’Université du Cap, obligeant des centaines d’étudiants à fuir à pied.
« C’était tout simplement horrible », a déclaré à l’AFP un étudiant, Kosmas Joannou, qui a dû quitter sa résidence universitaire. Le ciel « était orange, il y avait des cendres partout et tout le monde criait. C’était le chaos ».
La section des études africaines d’un bâtiment de l’université datant des années 1930 et sa salle de lecture au sol boisé ont été « complètement détruites », a déclaré Ujala Satgoor, responsable des bibliothèques de l’UCT, dans un message publié sur Facebook dimanche soir. « Une partie de nos précieuses collections a été perdue ».
Les photos qui accompagnaient le message montraient des flammes et des colonnes de fumée s’échappant du toit et des fenêtres du bâtiment, fermé jusqu’à nouvel ordre.
Lundi, une épaisse fumée flottait encore au-dessus du campus désert de l’UCT.
L’incendie a détruit une partie du restaurant d’un monument à la gloire du colon britannique Cecil Rhodes, ainsi que des maisons. (AFP)
« Le feu n’est pas encore sous contrôle », a déclaré le porte-parole des pompiers du Cap, Jermaine Carelse, dans un communiqué diffusé par la Ville.
Des vents violents ont jusqu’à présent empêché toute intervention aérienne et poussé les flammes vers l’Ouest, en direction du centre-ville, selon les secours.
Les écoles de la banlieue de Vredehoek, à environ trois kilomètres de l’Université du Cap (UCT) ont reçu l’ordre d’évacuer.
Une enquête sur l’origine de l’incendie, qui n’a pas fait de victime, a été ouverte. Un suspect a été placé en garde à vue, ont annoncé les autorités locales.
Le feu, qui s’est déclaré au pied de Table Mountain dimanche matin, s’est propagé dans la journée à l’Université du Cap, obligeant des centaines d’étudiants à fuir à pied.
« C’était tout simplement horrible », a déclaré à l’AFP un étudiant, Kosmas Joannou, qui a dû quitter sa résidence universitaire. Le ciel « était orange, il y avait des cendres partout et tout le monde criait. C’était le chaos ».
La section des études africaines d’un bâtiment de l’université datant des années 1930 et sa salle de lecture au sol boisé ont été « complètement détruites », a déclaré Ujala Satgoor, responsable des bibliothèques de l’UCT, dans un message publié sur Facebook dimanche soir. « Une partie de nos précieuses collections a été perdue ».
Les photos qui accompagnaient le message montraient des flammes et des colonnes de fumée s’échappant du toit et des fenêtres du bâtiment, fermé jusqu’à nouvel ordre.
Lundi, une épaisse fumée flottait encore au-dessus du campus désert de l’UCT.
L’incendie a détruit une partie du restaurant d’un monument à la gloire du colon britannique Cecil Rhodes, ainsi que des maisons. (AFP)