L’Association des professionnels de la presse en ligne (APPEL) s’est « indignée » de l’acte perpétré au siège du journal en ligne « Jotaay » et du quotidien « Les Echos ». L’Appel est d’autant plus en colère que l’information à la base de l’attaque des locaux du média s’est révélée « fiable et crédible » après vérification. « Une information confirmée par des autorités » de l’hôpital Principal de Dakar. « ce n’était point un fake news encore moins une rumeur. »
Le Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (CDEPS) a dénoncé « avec fermeté » l’attaque contre le siège des Echos. Il condamne une « agression ignoble et exprime toute sa solidarité au journal Les Echos, à ses travailleurs et à sa direction. »
Après avoir condamné le saccage du journal, l’ONG Article-19 a exprimé sa solidarité aux confrères non sans rappeler le rôle incontournable dévolu aux média dans les sociétés démocratiques comme au Sénégal. Article-19 appelle ainsi les autorités sénégalaises à aider au renforcement de la sécurité des journalistes, surtout avec la crise sanitaire qui prévaut presque partout dans le pays.
C’est par un tweet que Reporters sans frontières (RSF) a condamné l’attaque contre les locaux du média et demandé l’ouverture d’une enquête pour en identifier les auteurs.
Principale organisation syndicale des journalistes sénégalais, le Synpics, « qui s’est toujours attaché aux principes de la liberté d’expression, condamne avec vigueur ces actes barbares, abjects et d’une autre époque. Si cette attaque avait pour but d’intimider les femmes et hommes de médias, c’est peine perdue (car) les journalistes (…) continueront à exercer leur travail d’information », souligne le syndicat dans un communiqué rendu public.
Mais pour le Bureau exécutif national du Synpics, il appartient désormais au « gouvernement sénégalais (de) faire arrêter et juger les responsables de ces actes et (leurs) éventuels commanditaires… »
Le Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (CDEPS) a dénoncé « avec fermeté » l’attaque contre le siège des Echos. Il condamne une « agression ignoble et exprime toute sa solidarité au journal Les Echos, à ses travailleurs et à sa direction. »
Après avoir condamné le saccage du journal, l’ONG Article-19 a exprimé sa solidarité aux confrères non sans rappeler le rôle incontournable dévolu aux média dans les sociétés démocratiques comme au Sénégal. Article-19 appelle ainsi les autorités sénégalaises à aider au renforcement de la sécurité des journalistes, surtout avec la crise sanitaire qui prévaut presque partout dans le pays.
C’est par un tweet que Reporters sans frontières (RSF) a condamné l’attaque contre les locaux du média et demandé l’ouverture d’une enquête pour en identifier les auteurs.
Principale organisation syndicale des journalistes sénégalais, le Synpics, « qui s’est toujours attaché aux principes de la liberté d’expression, condamne avec vigueur ces actes barbares, abjects et d’une autre époque. Si cette attaque avait pour but d’intimider les femmes et hommes de médias, c’est peine perdue (car) les journalistes (…) continueront à exercer leur travail d’information », souligne le syndicat dans un communiqué rendu public.
Mais pour le Bureau exécutif national du Synpics, il appartient désormais au « gouvernement sénégalais (de) faire arrêter et juger les responsables de ces actes et (leurs) éventuels commanditaires… »