Paris - Trois personnes ont été placées en garde à vue samedi en France dans l'enquête sur un projet d'attentat déjoué contre un rassemblement de l'opposition iranienne qui se tenait ce jour-là au nord de Paris, a-t-on appris lundi de source judiciaire.
Le parquet fédéral belge a révélé lundi avoir arrêté à Bruxelles, samedi également, un couple en possession d'explosifs, soupçonné d'avoir planifié un attentat à Villepinte, lors d'un rassemblement des Moudjahidine du Peuple Iranien (MEK).
"Les investigations visent à préciser la nature des relations" que ces trois gardés à vue "pouvaient entretenir avec les suspects interpellés en Belgique", a-t-on ajouté de même source judiciaire.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle" le 28 juin, deux jours avant ce meeting, confiée à la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure), a précisé cette source.
Selon le parquet fédéral belge, l'attentat a pu être déjoué grâce à la collaboration des services de renseignements belges, français et allemands.
Parmi les trois interpellés se trouve un homme de 54 ans, nommé Merhad A., arrêté samedi après-midi à Villepinte, selon une source proche du dossier. Les deux autres ont été arrêtés dans la région de Senlis, à une soixantaine de kilomètres au nord de Paris.
Les trois gardes à vue ont été prolongées lundi, a indiqué la source judiciaire. Elles peuvent durer jusqu'à mercredi.
"Quelque 25.000 personnes étaient présentes à cette conférence", selon les autorités judiciaires belges.
Des proches du président américain Donald Trump, dont l'ancien maire de New York Rudy Giuliani, y ont pris la parole, plaidant pour un changement de régime à Téhéran.
Le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), fondé par un ancien chef des Moudjahidine du peuple réfugié en France, a accusé lundi le régime des mollahs d'avoir fomenté le projet d'attentat.
Le couple arrêté en Belgique a été inculpé lundi et un de leurs contacts, un diplomate iranien, a été interpellé en Allemagne, a aussi annoncé le parquet fédéral belge. Il s'agit d'Assadollah A., un conseiller de 46 ans à l'ambassade iranienne à Vienne.
Le parquet fédéral belge a révélé lundi avoir arrêté à Bruxelles, samedi également, un couple en possession d'explosifs, soupçonné d'avoir planifié un attentat à Villepinte, lors d'un rassemblement des Moudjahidine du Peuple Iranien (MEK).
"Les investigations visent à préciser la nature des relations" que ces trois gardés à vue "pouvaient entretenir avec les suspects interpellés en Belgique", a-t-on ajouté de même source judiciaire.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle" le 28 juin, deux jours avant ce meeting, confiée à la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure), a précisé cette source.
Selon le parquet fédéral belge, l'attentat a pu être déjoué grâce à la collaboration des services de renseignements belges, français et allemands.
Parmi les trois interpellés se trouve un homme de 54 ans, nommé Merhad A., arrêté samedi après-midi à Villepinte, selon une source proche du dossier. Les deux autres ont été arrêtés dans la région de Senlis, à une soixantaine de kilomètres au nord de Paris.
Les trois gardes à vue ont été prolongées lundi, a indiqué la source judiciaire. Elles peuvent durer jusqu'à mercredi.
"Quelque 25.000 personnes étaient présentes à cette conférence", selon les autorités judiciaires belges.
Des proches du président américain Donald Trump, dont l'ancien maire de New York Rudy Giuliani, y ont pris la parole, plaidant pour un changement de régime à Téhéran.
Le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), fondé par un ancien chef des Moudjahidine du peuple réfugié en France, a accusé lundi le régime des mollahs d'avoir fomenté le projet d'attentat.
Le couple arrêté en Belgique a été inculpé lundi et un de leurs contacts, un diplomate iranien, a été interpellé en Allemagne, a aussi annoncé le parquet fédéral belge. Il s'agit d'Assadollah A., un conseiller de 46 ans à l'ambassade iranienne à Vienne.