Compte rendu hebdomadaire de l'état-major français, le 5 mars : 10 terroristes «neutralisés» au Niger. Bulletin du 27 février : 24 combattants, liquidés au Mali. Semaine du 20 février : 50 tués près de Mopti, et d'autres non comptabilisés dans le Gourma malien. Compte rendu du 13 février : 40 djihadistes éliminés. Presque autant, 38, dans le bulletin du 23 janvier. Le bilan était même de 70 terroristes «neutralisés», aux confins du Mali et du Niger, dans le compte rendu du 9 janvier, couvrant les opérations au tournant de la nouvelle année.
Depuis fin 2019, l'armée française élimine une centaine de combattants par mois parmi ceux qu'elle nomme «les groupes armés terroristes», aux confins du Mali, du Niger et du Burkina Faso. A cet égard, le dialogue ouvert officiellement le 10 février par le président malien Ibrahim Boubacar Keïta avec les deux principaux chefs djihadistes liés à Al-Qaida de la région «ne change rien», ont indiqué au Monde trois responsables militaires français.
Iyad Ag-Ghali, l'ex-rebelle touareg chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), et Amadou Koufa, chef de la katiba Macina, « restent des cibles », indique un de ces interlocuteurs. (Le Monde)
Depuis fin 2019, l'armée française élimine une centaine de combattants par mois parmi ceux qu'elle nomme «les groupes armés terroristes», aux confins du Mali, du Niger et du Burkina Faso. A cet égard, le dialogue ouvert officiellement le 10 février par le président malien Ibrahim Boubacar Keïta avec les deux principaux chefs djihadistes liés à Al-Qaida de la région «ne change rien», ont indiqué au Monde trois responsables militaires français.
Iyad Ag-Ghali, l'ex-rebelle touareg chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), et Amadou Koufa, chef de la katiba Macina, « restent des cibles », indique un de ces interlocuteurs. (Le Monde)