D’une manière ou d’une autre, il faudra arrêter cette machine folle et dangereuse qui est en train de scalper la démocratie et ses fondements. Le problème, c’est quand cela sera-t-il possible. Et même si cela se faisait, ne serait-il pas trop tard ? Dans les pays comme le nôtre, mais aussi dans les démocraties plus affirmées, plus sérieuses et moins clownesques, les conquêtes démocratiques restent en permanence sous la menace de forces obscures allergiques à l’expression souveraine du peuple.
Aux Etats-Unis, ces forces ont pour nom «l’Etat profond». Ailleurs, on parle de «lobbies» comme en Europe et dans certaines contrées asiatiques. Mais l’avantage qu’ont les Américains, les Européens et en partie les Asiatiques, c’est de disposer de mécanismes institutionnels opérationnels et prestigieux en mesure de contrer les aventuriers-fraudeurs sous couvert de principes démocratiques.
Chez nous, ces mécanismes s’affaissent chaque jour dans les profondeurs abyssales de la soumission, sous le regard apeuré d’une opinion publique qui n’existe que de nom et qu’en certaines circonstances exceptionnelles. Pendant ce temps, la machine de la parodie démocratique tourne à plein régime…grâce à une corruption élevée au rang de dieu-système.
Aux Etats-Unis, ces forces ont pour nom «l’Etat profond». Ailleurs, on parle de «lobbies» comme en Europe et dans certaines contrées asiatiques. Mais l’avantage qu’ont les Américains, les Européens et en partie les Asiatiques, c’est de disposer de mécanismes institutionnels opérationnels et prestigieux en mesure de contrer les aventuriers-fraudeurs sous couvert de principes démocratiques.
Chez nous, ces mécanismes s’affaissent chaque jour dans les profondeurs abyssales de la soumission, sous le regard apeuré d’une opinion publique qui n’existe que de nom et qu’en certaines circonstances exceptionnelles. Pendant ce temps, la machine de la parodie démocratique tourne à plein régime…grâce à une corruption élevée au rang de dieu-système.