Le Burkina Faso à nouveau endeuillé. Une quarantaine de supplétifs de l'armée et de civils ont été tués samedi 14 mai dans trois attaques menées par des jihadistes présumés dans le nord et l'est du pays sahélien, ont annoncé des sources sécuritaires et locales lundi 16 mai à l'AFP. Après une accalmie suivant la prise du pouvoir par des militaires, le pays fait face à une recrudescence d'attaques.
L'attaque la plus meurtrière a visé les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP, supplétifs civils de l'armée) de la commune de Guessel dans la région du Sahel (Nord), tuant "une vingtaine de personnes, dont huit VDP", selon un de leurs responsables. Il a ajouté que le même jour, cinq autres supplétifs et un civil avaient été tués à Markoye, dans la même région, ce qu'a confirmé une source sécuritaire en parlant d'une "série d'attaques qui ont principalement visé les Volontaires". ...
Le nouvel homme fort du pays, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, qui a renversé le 24 janvier le président élu Roch Marc Christian Kaboré, accusé d'être inefficace face à la violence jihadiste, a assuré vouloir faire de la question sécuritaire sa "priorité". Après une relative accalmie les semaines suivant sa prise de pouvoir, le régime militaire fait face à une recrudescence d'attaques de jihadistes présumés qui ont fait plus de 100 morts, civils et militaires compris. (France24 avec AFP)
L'attaque la plus meurtrière a visé les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP, supplétifs civils de l'armée) de la commune de Guessel dans la région du Sahel (Nord), tuant "une vingtaine de personnes, dont huit VDP", selon un de leurs responsables. Il a ajouté que le même jour, cinq autres supplétifs et un civil avaient été tués à Markoye, dans la même région, ce qu'a confirmé une source sécuritaire en parlant d'une "série d'attaques qui ont principalement visé les Volontaires". ...
Le nouvel homme fort du pays, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, qui a renversé le 24 janvier le président élu Roch Marc Christian Kaboré, accusé d'être inefficace face à la violence jihadiste, a assuré vouloir faire de la question sécuritaire sa "priorité". Après une relative accalmie les semaines suivant sa prise de pouvoir, le régime militaire fait face à une recrudescence d'attaques de jihadistes présumés qui ont fait plus de 100 morts, civils et militaires compris. (France24 avec AFP)