L’émergence ne peut être décrétée, mais ‘’se conquiert par une vision et des actes de tous les jours’’, a affirmé jeudi le président de la République, Macky Sall.
‘’Plus que tout autre, l’Afrique est le continent qui a subi le poids écrasant de l’histoire. Mais malgré ce fardeau handicapant, nous sommes résolus, en gardant la mémoire du passé, à regarder l’avenir et aller de l’avant. Sur ce point, nous avons à l’esprit que le développement ne peut se construire qu’avec l’aide internationale et que l’émergence ne se décrète pas, mais se conquière par une vision et des actes de tous les jours’’, a-t-il dit.
Le président Sall s’exprimait lors de la troisième édition de la Conférence internationale sur l’émergence de l’Afrique (CIEA-III) ouverte ce jeudi, au Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio, en présence de son homologue malien, Ibrahima Boubacar Keita.
La rencontre a également enregistré la présence des Premiers ministres malaisien et ivoirien, Mahathir Bin Mohamad et Amadou Gon Coulibaly. Le président de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina, et plusieurs ministres africains et européens assistent aussi à cette troisième CIEA.
‘’Nous sommes réunis ici, animés d’une foi solide. La foi en une Afrique qui refuse la fatalité du sous-développement, une Afrique fermement décidée à prendre son destin en main pour entrer enfin dans l’ère de l’émergence’’, a estimé Macky Sall.
Selon lui, le continent veut ’’d’abord compter sur ses propres efforts, mais aussi sur la vitalité de ses partenariats équilibrés, respectueux des intérêts de toutes les parties, et donc mutuellement bénéfiques‘’.
‘’Voilà l’Afrique que nous voulons bâtir, une Afrique debout en marche d’un pas ferme vers le progrès. Dans cette Afrique en construction, les gouvernements sont à la tâche, la jeunesse instruite et créative entreprend et réussit. Des hommes et des femmes d’affaires s’activent, investissent, créent des emplois et des richesses’’, a poursuivi le Chef de l’Etat.
La responsabilité des dirigeants africains d’aujourd’hui, a relevé le chef de l’Etat, est de ‘’ labourer les champs de tous les possibles’’. (APS)
‘’Plus que tout autre, l’Afrique est le continent qui a subi le poids écrasant de l’histoire. Mais malgré ce fardeau handicapant, nous sommes résolus, en gardant la mémoire du passé, à regarder l’avenir et aller de l’avant. Sur ce point, nous avons à l’esprit que le développement ne peut se construire qu’avec l’aide internationale et que l’émergence ne se décrète pas, mais se conquière par une vision et des actes de tous les jours’’, a-t-il dit.
Le président Sall s’exprimait lors de la troisième édition de la Conférence internationale sur l’émergence de l’Afrique (CIEA-III) ouverte ce jeudi, au Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD) de Diamniadio, en présence de son homologue malien, Ibrahima Boubacar Keita.
La rencontre a également enregistré la présence des Premiers ministres malaisien et ivoirien, Mahathir Bin Mohamad et Amadou Gon Coulibaly. Le président de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina, et plusieurs ministres africains et européens assistent aussi à cette troisième CIEA.
‘’Nous sommes réunis ici, animés d’une foi solide. La foi en une Afrique qui refuse la fatalité du sous-développement, une Afrique fermement décidée à prendre son destin en main pour entrer enfin dans l’ère de l’émergence’’, a estimé Macky Sall.
Selon lui, le continent veut ’’d’abord compter sur ses propres efforts, mais aussi sur la vitalité de ses partenariats équilibrés, respectueux des intérêts de toutes les parties, et donc mutuellement bénéfiques‘’.
‘’Voilà l’Afrique que nous voulons bâtir, une Afrique debout en marche d’un pas ferme vers le progrès. Dans cette Afrique en construction, les gouvernements sont à la tâche, la jeunesse instruite et créative entreprend et réussit. Des hommes et des femmes d’affaires s’activent, investissent, créent des emplois et des richesses’’, a poursuivi le Chef de l’Etat.
La responsabilité des dirigeants africains d’aujourd’hui, a relevé le chef de l’Etat, est de ‘’ labourer les champs de tous les possibles’’. (APS)