Les défenseurs de l’ancien président de l’Assemblée nationale ont annoncé leur refus de participer au procès de Guillaume Soro et d’une vingtaine de ses proches. Celui-ci s’ouvre ce 19 mai à Abidjan. C’est un procès particulièrement attendu qui doit s’ouvrir ce 19 mai devant le tribunal criminel d’Abidjan. Celui de Guillaume Soro et d’une vingtaine de ses proches et de militants de Générations et peuples solidaires (GPS), qui devront répondre des charges d’« atteinte à la sureté de l’État », de « complot » et de « diffusion de fausses informations ».
Mais ce procès se tiendra en l’absence de Guillaume Soro, en exil depuis son retour avorté de décembre 2019, et de ses avocats. Selon nos informations, les défenseurs de l’ancien président de l’Assemblée nationale ont en effet fait savoir, par un courrier adressé au président et aux juges du tribunal, qu’ils ne « prêteront pas leur concours au simulacre de procès ». (Jeune Afrique)
Mais ce procès se tiendra en l’absence de Guillaume Soro, en exil depuis son retour avorté de décembre 2019, et de ses avocats. Selon nos informations, les défenseurs de l’ancien président de l’Assemblée nationale ont en effet fait savoir, par un courrier adressé au président et aux juges du tribunal, qu’ils ne « prêteront pas leur concours au simulacre de procès ». (Jeune Afrique)