Paris - Le géant informatique américain Microsoft a ouvert pour la première fois quatre centres de données en France, qui hébergeront les données de ses clients professionnels français utilisateurs de ses services dématérialisés en ligne dans le "cloud" (nuage), a-t-il annoncé mercredi.
Trois de ces centres sont situés en région parisienne, et le quatrième dans la région marseillaise, a précisé Microsoft.
Le géant américain complète ainsi son offre en Europe, qui s'articule désormais autour de deux très gros centres européens de données en Irlande et au Pays-Bas, complétés par des centres de données nationaux en Allemagne, au Royaume-Uni et en France.
Des centres de données doivent également être ouverts prochainement en Suisse.
Les centres de données français sont suffisants pour accueillir toute la demande des clients français de Microsoft, a affirmé Bernard Ourghanlian, le directeur technique et sécurité de Microsoft France.
"Nous n'avons pas de problèmes de capacités" pour accueillir les données des clients français, a-t-il dit à l'AFP.
Les clients français qui ont pour l'instant leurs données stockées dans les deux centres européens pourront les rapatrier "quand ils le veulent" dans les centres nationaux, a expliqué M. Ourghanlian.
A l'exception toutefois des applications nécessitant "beaucoup de ressources", comme celles utilisant des outils d'intelligence artificielle, qui devront rester pour l'instant dans les centres européens, des mastodontes qui représentent chacun la superficie d'une vingtaine de terrains de football, a-t-il expliqué.
Le fait d'avoir un centre de données dans la région marseillaise, éloignée des centres parisiens, permet notamment d'améliorer la solidité du système pour les clients, a indiqué Bernard Ourghanlian.
Microsoft peut "prendre la décision de basculer les données" de ses clients vers Marseille au cas où un événement "de gravité très importante" empêcherait le fonctionnement des centres de la région parisienne, a-t-il indiqué.
Microsoft va notamment utiliser ces centres de données pour stocker les données de ses clients utilisant Office 365, ses logiciels de bureau qui ne sont plus installés directement sur les ordinateurs des clients, mais dans le nuage, accessibles via internet.
Trois de ces centres sont situés en région parisienne, et le quatrième dans la région marseillaise, a précisé Microsoft.
Le géant américain complète ainsi son offre en Europe, qui s'articule désormais autour de deux très gros centres européens de données en Irlande et au Pays-Bas, complétés par des centres de données nationaux en Allemagne, au Royaume-Uni et en France.
Des centres de données doivent également être ouverts prochainement en Suisse.
Les centres de données français sont suffisants pour accueillir toute la demande des clients français de Microsoft, a affirmé Bernard Ourghanlian, le directeur technique et sécurité de Microsoft France.
"Nous n'avons pas de problèmes de capacités" pour accueillir les données des clients français, a-t-il dit à l'AFP.
Les clients français qui ont pour l'instant leurs données stockées dans les deux centres européens pourront les rapatrier "quand ils le veulent" dans les centres nationaux, a expliqué M. Ourghanlian.
A l'exception toutefois des applications nécessitant "beaucoup de ressources", comme celles utilisant des outils d'intelligence artificielle, qui devront rester pour l'instant dans les centres européens, des mastodontes qui représentent chacun la superficie d'une vingtaine de terrains de football, a-t-il expliqué.
Le fait d'avoir un centre de données dans la région marseillaise, éloignée des centres parisiens, permet notamment d'améliorer la solidité du système pour les clients, a indiqué Bernard Ourghanlian.
Microsoft peut "prendre la décision de basculer les données" de ses clients vers Marseille au cas où un événement "de gravité très importante" empêcherait le fonctionnement des centres de la région parisienne, a-t-il indiqué.
Microsoft va notamment utiliser ces centres de données pour stocker les données de ses clients utilisant Office 365, ses logiciels de bureau qui ne sont plus installés directement sur les ordinateurs des clients, mais dans le nuage, accessibles via internet.