Plusieurs ONG internationales et marocaines sont montées au créneau fin de la semaine dernière, après la condamnation de l’historien et défenseur des droits humains marocain Maati Monjib à un an de prison ferme. Ainsi, pour Amnesty international, les autorités marocaines doivent immédiatement et sans conditions libérer Maati Monjib. Car l’intellectuel de 60 ans, enseignant à l’université de Rabat, a souvent été qualifié de bête noire des autorités marocaines. Pour certains, il était même l’homme à faire taire.
Auteur de plusieurs ouvrages critiques à propos du pouvoir marocain et sur la monarchie, Maati Monjib était l’un des fers de lance des voix d’opposition dans le pays, et continuait à publier des articles dans la presse arabophone et francophone. Après des années de poursuites, il a finalement été condamné, avec six autres journalistes et militants des droits humains par le tribunal de première instance de Rabat, mercredi dernier. (RTBF)
Auteur de plusieurs ouvrages critiques à propos du pouvoir marocain et sur la monarchie, Maati Monjib était l’un des fers de lance des voix d’opposition dans le pays, et continuait à publier des articles dans la presse arabophone et francophone. Après des années de poursuites, il a finalement été condamné, avec six autres journalistes et militants des droits humains par le tribunal de première instance de Rabat, mercredi dernier. (RTBF)