Le gouvernement ougandais a mis fin à son contrat avec la société chinoise China Harbour and Engineering Company Ltd (CHEC) pour la construction d'une voie ferrée jusqu'à la frontière kényane et envisage désormais un accord avec une société turque, a déclaré vendredi un haut responsable à Reuters.
En 2015, le pays d'Afrique de l'Est a signé un contrat d'ingénierie, d'approvisionnement et de construction avec CHEC pour développer le projet de chemin de fer à écartement standard (SGR), qui utilisera la norme internationale plutôt qu'un écartement plus étroit parfois utilisé dans la région.
La ligne ferroviaire de 273 kilomètres, dont le coût est estimé à 2,2 milliards de dollars, reliera la capitale Kampala à la frontière ougandaise avec le Kenya, où il est prévu de la raccorder à la voie ferrée à écartement standard du Kenya, qui va jusqu'au port maritime de Mombasa, dans l'océan Indien.
L'Ouganda est cependant frustré par le manque de volonté de la Chine de financer le projet et courtise désormais le turc Yapi Merkezi pour occuper le poste, a déclaré à Reuters un haut fonctionnaire du ministère des travaux et du projet de transport. (Reuters)
En 2015, le pays d'Afrique de l'Est a signé un contrat d'ingénierie, d'approvisionnement et de construction avec CHEC pour développer le projet de chemin de fer à écartement standard (SGR), qui utilisera la norme internationale plutôt qu'un écartement plus étroit parfois utilisé dans la région.
La ligne ferroviaire de 273 kilomètres, dont le coût est estimé à 2,2 milliards de dollars, reliera la capitale Kampala à la frontière ougandaise avec le Kenya, où il est prévu de la raccorder à la voie ferrée à écartement standard du Kenya, qui va jusqu'au port maritime de Mombasa, dans l'océan Indien.
L'Ouganda est cependant frustré par le manque de volonté de la Chine de financer le projet et courtise désormais le turc Yapi Merkezi pour occuper le poste, a déclaré à Reuters un haut fonctionnaire du ministère des travaux et du projet de transport. (Reuters)