A l’installation du Comité de pilotage du dialogue national ce jeudi au palais de la République, Famara Ibrahima Sagna a mis en garde contre le risque d’échec qui serait imputable aux «discours discordants et discontinus de plusieurs personnes représentants des intérêts divergents, antagonistes et égoïstes.»
A contrario, l’ancien ministre et ex président du Conseil économique et social a dressé l’objectif visé. «Le dialogue que nous voulons doit être celui qui produit un diagnostic intégrant tous les arguments des participants et une conclusion dans laquelle se reconnaissent tous ceux qui se retrouvent», a-t-il souligné.
«C’est un dialogue pour la réussite duquel nous devons chercher les méthodes et outils qui l’encadrent entre acteurs de différents statuts, d’expériences, d’intérêts particuliers, mais tous motivés par le désir et la volonté patriotique de construire un espace d’entente et de stabilité sociale, de paix où il fait bon vivre pour tout le monde», a indiqué le président Sagna. Qui a finalement appelé les participants «à réfléchir pour aboutir à un consensus qui (…) fait partie intégrante de l’histoire du pays et de l’Afrique.»
A contrario, l’ancien ministre et ex président du Conseil économique et social a dressé l’objectif visé. «Le dialogue que nous voulons doit être celui qui produit un diagnostic intégrant tous les arguments des participants et une conclusion dans laquelle se reconnaissent tous ceux qui se retrouvent», a-t-il souligné.
«C’est un dialogue pour la réussite duquel nous devons chercher les méthodes et outils qui l’encadrent entre acteurs de différents statuts, d’expériences, d’intérêts particuliers, mais tous motivés par le désir et la volonté patriotique de construire un espace d’entente et de stabilité sociale, de paix où il fait bon vivre pour tout le monde», a indiqué le président Sagna. Qui a finalement appelé les participants «à réfléchir pour aboutir à un consensus qui (…) fait partie intégrante de l’histoire du pays et de l’Afrique.»