PARIS (Reuters) - Un homme a tué jeudi matin deux personnes à l’arme blanche et en a blessé grièvement une autre à Trappes, dans les Yvelines, avant d’être abattu par des policiers, a-t-on appris auprès de la police nationale et de la préfecture. L’assaillant s’en est pris à des personnes sur la voie publique vers 10h00 (08h00 GMT). Il s’est ensuite retranché dans un pavillon, dont il est ressorti un peu plus tard en menaçant les policiers, qui l’ont alors “neutralisé”, précise la police.
“Opération de police achevée. Le RAID n’a pas été engagé. Individu neutralisé et décédé”, a annoncé la préfecture des Yvelines sur son compte Twitter. “Bilan humain s’agissant des victimes : deux personnes décédées, un blessé grave.”
Les motivations et le profil de l’agresseur sont en cours de vérification, a pour sa part précisé la police nationale. Selon une source au ministère de l’Intérieur, la police travaille sur la piste d’un différend familial et les victimes seraient des membres de la famille de l’assaillant.
Sollicité par Reuters, le parquet de Paris a précisé que sa section antiterroriste n’avait pas été saisie “à ce stade”.
Le groupe Etat islamique a revendiqué l’attaque dans une déclaration mais sans donner aucune preuve de son implication.
“Mes premières pensées vont aux victimes et leurs proches”, a pour sa part déclaré le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, sur Twitter.
L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Versailles, dit-on de source au sein des services.
“Opération de police achevée. Le RAID n’a pas été engagé. Individu neutralisé et décédé”, a annoncé la préfecture des Yvelines sur son compte Twitter. “Bilan humain s’agissant des victimes : deux personnes décédées, un blessé grave.”
Les motivations et le profil de l’agresseur sont en cours de vérification, a pour sa part précisé la police nationale.
Sollicité par Reuters, le parquet de Paris a précisé que sa section antiterroriste n’avait pas été saisie “à ce stade”.
Le groupe Etat islamique a revendiqué l’attaque dans une déclaration mais sans donner aucune preuve de son implication.
“Mes premières pensées vont aux victimes et leurs proches”, a pour sa part déclaré le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, sur Twitter.
L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Versailles, dit-on de source au sein des services.