Photo d'illustration
Dix soldats maliens ont été tués, mercredi 3 février, dans une attaque imputée à des djihadistes contre leur poste dans le centre du pays, un des foyers de la violence qui ensanglante le Sahel, ont déclaré des responsables. Le poste de Boni, entre Douentza et Hombori, dans la région de Mopti, a été attaqué vers 6 heures (7 heures à Paris) « par des individus lourdement armés à bord de véhicules blindés ». Fait rare, les assaillants ont eu recours à un ou des véhicules blindés, selon cette même source.
Tadayt, organe de propagande proche d’Al-Qaida, a attribué cette attaque au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, ou Jnim en arabe), alliance affiliée à l’organisation djihadiste. C’est la plus meurtrière depuis le début de l’année contre les forces maliennes, qui ont perdu des centaines d’hommes, de cette manière, durant les mois précédents.
Dix dépouilles ont été acheminées par un hélicoptère de la mission de l’ONU (Minusma) à l’aéroport de Sévaré, près de Mopti, et huit blessés évacués vers un hôpital, ont affirmé des responsables locaux, souhaitant garder l’anonymat. L’attaque à causé des dégâts importants dans le camp, ont-ils ajouté. (Le Monde avec AFP)
Tadayt, organe de propagande proche d’Al-Qaida, a attribué cette attaque au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM, ou Jnim en arabe), alliance affiliée à l’organisation djihadiste. C’est la plus meurtrière depuis le début de l’année contre les forces maliennes, qui ont perdu des centaines d’hommes, de cette manière, durant les mois précédents.
Dix dépouilles ont été acheminées par un hélicoptère de la mission de l’ONU (Minusma) à l’aéroport de Sévaré, près de Mopti, et huit blessés évacués vers un hôpital, ont affirmé des responsables locaux, souhaitant garder l’anonymat. L’attaque à causé des dégâts importants dans le camp, ont-ils ajouté. (Le Monde avec AFP)