L'armée égyptienne a repoussé dimanche une attaque «terroriste» contre des infrastructures sécuritaires dans la région du Nord-Sinaï, faisant sept morts et blessés dans ses rangs, a-t-elle affirmé.
Lors d'un échange de tirs, l'armée a «tué 10 terroristes et détruit un véhicule à quatre roues utilisé par les terroristes», a déclaré l'armée dans un bref communiqué posté sur sa page Facebook.
Sept soldats ont été tués ou blessés, a-t-elle ajouté, sans donner davantage de précisions.
Insurrection dans le Nord-Sinaï
L'Egypte lutte depuis des années contre une insurrection dans le Nord-Sinaï (nord-est), qui s'est intensifiée après la destitution du président islamiste Mohamed Morsi en 2013.
L'armée a lancé en février 2018 une vaste opération «antiterroriste» dans le Nord-Sinaï où est active la branche locale du groupe Etat islamique (EI).
Cette opération de l'armée inclut aussi certaines parties du désert occidental, entre la vallée du Nil et la frontière avec la Libye.
Depuis son début, environ 840 djihadistes présumés ont été tués, ainsi que près de 67 militaires, selon les chiffres officiels. Aucun bilan vérifié de source indépendante n'est disponible et la région est largement interdite aux journalistes. (afp/nxp)
Lors d'un échange de tirs, l'armée a «tué 10 terroristes et détruit un véhicule à quatre roues utilisé par les terroristes», a déclaré l'armée dans un bref communiqué posté sur sa page Facebook.
Sept soldats ont été tués ou blessés, a-t-elle ajouté, sans donner davantage de précisions.
Insurrection dans le Nord-Sinaï
L'Egypte lutte depuis des années contre une insurrection dans le Nord-Sinaï (nord-est), qui s'est intensifiée après la destitution du président islamiste Mohamed Morsi en 2013.
L'armée a lancé en février 2018 une vaste opération «antiterroriste» dans le Nord-Sinaï où est active la branche locale du groupe Etat islamique (EI).
Cette opération de l'armée inclut aussi certaines parties du désert occidental, entre la vallée du Nil et la frontière avec la Libye.
Depuis son début, environ 840 djihadistes présumés ont été tués, ainsi que près de 67 militaires, selon les chiffres officiels. Aucun bilan vérifié de source indépendante n'est disponible et la région est largement interdite aux journalistes. (afp/nxp)