Photo ArabNews
Huit enfants et deux femmes ont péri dans leur immeuble situé dans la bande de Gaza, après un bombardement de l’armée de l’État hébreux, samedi.
Dix membres d’une même famille ont été tués samedi matin dans une frappe aérienne israélienne à l’ouest de la bande de Gaza, ont annoncé les secours palestiniens.
Parmi les victimes, se trouvaient huit enfants et deux femmes, tués alors qu’ils se trouvaient dans leur immeuble de trois étages situé dans le camp de réfugiés Al Shati, selon ces sources paramédicales à Gaza. «Ils (les enfants) étaient en sécurité dans leur maison, ils ne portaient pas d’armes, ils n’ont pas tiré de roquettes», a témoigné Mohammad Abou Hatab, le père des huit enfants, à l’hôpital Shifa de la ville de Gaza.
Les enfants ont été tués «alors qu’ils portaient leurs habits de l’Aïd al-Fitr», a-t-il ajouté, en référence à la coutume de porter des beaux habits durant cette fête marquant la fin du mois de jeûne du ramadan. Le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a lui dénoncé dans un communiqué «un massacre odieux dans le camp d’Al-Shati».
«Renseignement militaire»
L’armée israélienne a de son côté annoncé dans la nuit, au moins cinq frappes sur l’ensemble de la bande de Gaza. Parmi les cibles visées, selon un communiqué de l’armée, se trouvait l’un des quartiers généraux de Taoufik Abou Naim, commandant des forces de sécurité du Hamas, ainsi que plusieurs «sites de lancement de roquette» au nord et au sud de l’enclave et des bâtiments «du renseignement militaire» du Hamas.
Le dernier bilan des autorités palestiniennes faisait état vendredi soir de 126 morts, dont 31 enfants, et 950 blessés dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza depuis lundi.
Plus de 2.000 roquettes ont été lancées sur le territoire israélien depuis lundi, tuant 9 personnes, dont un enfant et un soldat, et faisant plus de 560 blessés. (AFP)
Dix membres d’une même famille ont été tués samedi matin dans une frappe aérienne israélienne à l’ouest de la bande de Gaza, ont annoncé les secours palestiniens.
Parmi les victimes, se trouvaient huit enfants et deux femmes, tués alors qu’ils se trouvaient dans leur immeuble de trois étages situé dans le camp de réfugiés Al Shati, selon ces sources paramédicales à Gaza. «Ils (les enfants) étaient en sécurité dans leur maison, ils ne portaient pas d’armes, ils n’ont pas tiré de roquettes», a témoigné Mohammad Abou Hatab, le père des huit enfants, à l’hôpital Shifa de la ville de Gaza.
Les enfants ont été tués «alors qu’ils portaient leurs habits de l’Aïd al-Fitr», a-t-il ajouté, en référence à la coutume de porter des beaux habits durant cette fête marquant la fin du mois de jeûne du ramadan. Le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a lui dénoncé dans un communiqué «un massacre odieux dans le camp d’Al-Shati».
«Renseignement militaire»
L’armée israélienne a de son côté annoncé dans la nuit, au moins cinq frappes sur l’ensemble de la bande de Gaza. Parmi les cibles visées, selon un communiqué de l’armée, se trouvait l’un des quartiers généraux de Taoufik Abou Naim, commandant des forces de sécurité du Hamas, ainsi que plusieurs «sites de lancement de roquette» au nord et au sud de l’enclave et des bâtiments «du renseignement militaire» du Hamas.
Le dernier bilan des autorités palestiniennes faisait état vendredi soir de 126 morts, dont 31 enfants, et 950 blessés dans les bombardements israéliens sur la bande de Gaza depuis lundi.
Plus de 2.000 roquettes ont été lancées sur le territoire israélien depuis lundi, tuant 9 personnes, dont un enfant et un soldat, et faisant plus de 560 blessés. (AFP)