La cérémonie de réception des premiers éléments des turbines destinées au Parc Éolien de Taïba Ndiaye (Petn) s’est tenue ce jeudi au môle 4 du Port Autonome de Dakar. Avec un investissement de près de 200 milliards de francs Cfa et une capacité installée de 158 MW, ce parc représentera à lui seul plus de la moitié de l’énergie renouvelable au Sénégal, et 15 % d’électricité propre supplémentaire pour le pays.
Dotée de 46 éoliennes parmi les plus grandes du monde, cette centrale éolienne place également le Sénégal parmi les pays leaders dans l’innovation en matière de production d’énergies renouvelables. Elle permettra d’éviter le rejet de 300 000 tonnes de dioxyde de carbone (CO2) par an selon les estimations du directeur général de la Senelec Pape Mademba Bitèye. Présent à la cérémonie aux côtés du ministre sénégalais du Pétrole et des Énergies, Makhtar Cissé, il s’est réjoui de la matérialisation de la vision du président de la République qui a fait du mix énergétique une option forte de son magistère.
La réception des premiers éléments des turbines destinées au Parc Éolien de Taïba Ndiaye s’est déroulée en présence de Tulibano S. Mushingi, l’ambassadeur des Etats Unis qui ont concouru au projet à travers une garantie de 140 milliards de francs Cfa. L’ambassadeur du Royaume Uni, George Hodgson, était également présent. Il s’est réjoui qu’une entreprise battant pavillon britannique, en l’occurrence Lekela, soit chargée de mettre sur pied la plus grande centrale éolienne d’Afrique de l’ouest.
Son directeur, Massaer Cissé, s’est engagé à opérer en mode fast-track comme le lui a enjoint le ministre du Pétrole et des Énergies qui veut que le parc éolien de Taïba Ndiaye soit compilé dans le bilan du président de la République dès cette année 2019. Sous ce rapport, Massaer Cissé a donné des gages : il assure que la première phase du parc éolien de Taïba Ndiaye sera opérationnelle au plus tard en décembre prochain.
En plus de créer des opportunités d’emploi durant les phases de construction, Cissé ajoute que l’infrastructure va donner jour à un large programme socio-économique dans la région de Taïba Ndiaye afin de développer des moyens de subsistance durables pour la communauté locale. Il s’agit de projets visant à améliorer l’agriculture lcoale, à fournir des possibilités de formatio professionnelle, à rénover où à construire des infrastructures dans le cadre d’un programme bi décennal.
Mohamed NDJIM
Dotée de 46 éoliennes parmi les plus grandes du monde, cette centrale éolienne place également le Sénégal parmi les pays leaders dans l’innovation en matière de production d’énergies renouvelables. Elle permettra d’éviter le rejet de 300 000 tonnes de dioxyde de carbone (CO2) par an selon les estimations du directeur général de la Senelec Pape Mademba Bitèye. Présent à la cérémonie aux côtés du ministre sénégalais du Pétrole et des Énergies, Makhtar Cissé, il s’est réjoui de la matérialisation de la vision du président de la République qui a fait du mix énergétique une option forte de son magistère.
La réception des premiers éléments des turbines destinées au Parc Éolien de Taïba Ndiaye s’est déroulée en présence de Tulibano S. Mushingi, l’ambassadeur des Etats Unis qui ont concouru au projet à travers une garantie de 140 milliards de francs Cfa. L’ambassadeur du Royaume Uni, George Hodgson, était également présent. Il s’est réjoui qu’une entreprise battant pavillon britannique, en l’occurrence Lekela, soit chargée de mettre sur pied la plus grande centrale éolienne d’Afrique de l’ouest.
Son directeur, Massaer Cissé, s’est engagé à opérer en mode fast-track comme le lui a enjoint le ministre du Pétrole et des Énergies qui veut que le parc éolien de Taïba Ndiaye soit compilé dans le bilan du président de la République dès cette année 2019. Sous ce rapport, Massaer Cissé a donné des gages : il assure que la première phase du parc éolien de Taïba Ndiaye sera opérationnelle au plus tard en décembre prochain.
En plus de créer des opportunités d’emploi durant les phases de construction, Cissé ajoute que l’infrastructure va donner jour à un large programme socio-économique dans la région de Taïba Ndiaye afin de développer des moyens de subsistance durables pour la communauté locale. Il s’agit de projets visant à améliorer l’agriculture lcoale, à fournir des possibilités de formatio professionnelle, à rénover où à construire des infrastructures dans le cadre d’un programme bi décennal.
Mohamed NDJIM