L’homme est décédé dans la nuit du samedi 1er au dimanche 2 juillet. Une information judiciaire a été ouverte par le parquet de Marseille pour "coups mortels avec usage ou menace d’une arme", précise La Marseillaise.
Un homme de 27 ans est mort dans la nuit du samedi 1er au dimanche 2 juillet, a appris la Marseillaise.
Le parquet de Marseille a ouvert une information judiciaire mardi du chef "de coups mortels avec usage ou menace d’une arme".
Selon les premiers éléments de l’enquête, la cause du décès est probablement liée à « un choc violent au niveau du thorax causé par le tir d’un projectile de "type flash-ball".
"Un arrêt cardiaque"
L'impact "a entraîné un arrêt cardiaque et donc la mort dans un temps proche", fait savoir le parquet, comme le précise BFMTV. À ce stade de l'enquête, "il n'est pas possible de déterminer le lieu où cet impact est intervenu", poursuit le parquet. L’IGPN – la police des polices –a été cosaisie, avec la police judiciaire, pour mener les investigations, selon nos confrères.
Le lieu des faits reste indéterminé. "Des événements de type émeutes et pillages se déroulaient cette nuit-là dans le secteur", précise le parquet. Difficile cependant de dire si la victime faisait partie des protestataires ou non.
Des émeutes secouent la France depuis mardi 27 juin. Ce jour-là, le jeune Nahel, âgé de 17 ans, a été abattu par un policier à Nanterre pour avoir refusé d’obtempérer. Le policier avait dans un premier temps plaidé la légitime défense, expliquant que la voiture leur avait foncé dessus. Une vidéo diffusée sur Twitter le lendemain des faits était venue remettre en question sa version des faits et diviser les Français. Après six jours de violences nocturnes, le ministère de l'Intérieur a dénombré 3164 interpellations et 700 membres des forces de l'ordre blessés.
Un homme de 27 ans est mort dans la nuit du samedi 1er au dimanche 2 juillet, a appris la Marseillaise.
Le parquet de Marseille a ouvert une information judiciaire mardi du chef "de coups mortels avec usage ou menace d’une arme".
Selon les premiers éléments de l’enquête, la cause du décès est probablement liée à « un choc violent au niveau du thorax causé par le tir d’un projectile de "type flash-ball".
"Un arrêt cardiaque"
L'impact "a entraîné un arrêt cardiaque et donc la mort dans un temps proche", fait savoir le parquet, comme le précise BFMTV. À ce stade de l'enquête, "il n'est pas possible de déterminer le lieu où cet impact est intervenu", poursuit le parquet. L’IGPN – la police des polices –a été cosaisie, avec la police judiciaire, pour mener les investigations, selon nos confrères.
Le lieu des faits reste indéterminé. "Des événements de type émeutes et pillages se déroulaient cette nuit-là dans le secteur", précise le parquet. Difficile cependant de dire si la victime faisait partie des protestataires ou non.
Des émeutes secouent la France depuis mardi 27 juin. Ce jour-là, le jeune Nahel, âgé de 17 ans, a été abattu par un policier à Nanterre pour avoir refusé d’obtempérer. Le policier avait dans un premier temps plaidé la légitime défense, expliquant que la voiture leur avait foncé dessus. Une vidéo diffusée sur Twitter le lendemain des faits était venue remettre en question sa version des faits et diviser les Français. Après six jours de violences nocturnes, le ministère de l'Intérieur a dénombré 3164 interpellations et 700 membres des forces de l'ordre blessés.