En Afrique, le virus électoral comme facteur de renforcement des pouvoirs

Mardi 26 Mai 2020

Le Président béninois, Patrice Talon, votant lors des élections locales du 17 mai dernier.

De nombreux régimes africains ont finalement maintenu des élections nationales ou locales en allant au bout de processus menacés par une crise sanitaire d’ampleur inégale d’un pays à l’autre. Toutefois, il n’est pas certain que la démocratie en sorte gagnante.

En Afrique et ailleurs, alors que les menaces de propagation massive du coronavirus existent, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), des autorités politiques au pouvoir ont tenu leurs élections nationales ou locales. C’est le cas au Burundi (20 mai), au Bénin (17 mai), au Mali (29 mars et 19 avril)) et en Guinée (22 mars, législatives et référendum). Un volontarisme qui, s’il n’est pas suspect, interroge.

(Lire la suite sur: https://fr.sputniknews.com/afrique/202005261043845478-en-afrique-le-virus-electoral-comme-facteur-de-renforcement-des-pouvoirs/)

 
Nombre de lectures : 212 fois