Les tensions politiques enflent depuis la fin du mandat du président somalien. Mohamed Abdullahi Mohamed, mis sous pression par ses alliés, a appelé à la tenue d’élections à l’issue de la journée de mardi 27 avril, qui avait vu des habitants de Mogadiscio quitter leurs quartiers, craignant de nouveaux affrontements armés.
Le dirigeant, connu sous le surnom de « Farmajo », qui s’adressera au Parlement samedi afin d’« obtenir son approbation pour le processus électoral », a appelé les acteurs politiques à tenir des « discussions urgentes » sur la manière de conduire le vote, lors d’une allocution diffusée sur les médias d’Etat à 1 heure, heure locale (minuit en France).
La tension était vive mardi dans la capitale, deux jours après des échanges de tirs entre forces gouvernementales et pro-opposition, lesquels ont fait trois morts. Dans plusieurs quartiers, des habitants quittaient leur maison, entassant leurs affaires sur des charrettes tirées par des ânes, ou fuyant en minibus ou en tuk-tuk. (Le Monde avec AFP)
Le dirigeant, connu sous le surnom de « Farmajo », qui s’adressera au Parlement samedi afin d’« obtenir son approbation pour le processus électoral », a appelé les acteurs politiques à tenir des « discussions urgentes » sur la manière de conduire le vote, lors d’une allocution diffusée sur les médias d’Etat à 1 heure, heure locale (minuit en France).
La tension était vive mardi dans la capitale, deux jours après des échanges de tirs entre forces gouvernementales et pro-opposition, lesquels ont fait trois morts. Dans plusieurs quartiers, des habitants quittaient leur maison, entassant leurs affaires sur des charrettes tirées par des ânes, ou fuyant en minibus ou en tuk-tuk. (Le Monde avec AFP)