« Des informations suggèrent que des extrémistes violents ayant des objections à l’exercice de l’autorité gouvernementale et à la transition présidentielle, ainsi que d’autres griefs alimentés par des récits mensongers, pourraient continuer à se mobiliser, et à inciter à commettre des violences », selon ce bulletin.
Le département précise, dans un communiqué, ne pas avoir « d’information sur un complot crédible spécifique ».
Il note toutefois que des « émeutes violentes ont encore eu lieu ces derniers jours » et que ces menaces pourraient persister plusieurs semaines.
Le bulletin, qui doit rester en vigueur jusqu’au 30 avril, relève que des extrémistes animés par plusieurs motivations, et notamment leur « colère face aux restrictions liées à la COVID-19 et aux résultats de l’élection » présidentielle, ont comploté en 2020, et parfois, attaqué des bâtiments officiels.
Certains « pourraient avoir été galvanisés par l’intrusion le 6 janvier » dans le Capitole, ajoute le département, en référence à l’assaut meurtrier de partisans de Donald Trump sur le siège du Congrès au moment où les élus certifiaient la victoire de son rival.
Le département se dit déterminé à protéger « les infrastructures critiques » et les « populations qui pourraient être ciblées en raison de leur religion, race, origine, identité ou opinion politique ».
Mais il invite aussi les Américains à se montrer vigilants. « Prenez en compte votre environnement et votre sécurité personnelle. Gardez les contacts d’urgence et autres informations essentielles sur vous », préconise-t-il. (AFP)
Le département précise, dans un communiqué, ne pas avoir « d’information sur un complot crédible spécifique ».
Il note toutefois que des « émeutes violentes ont encore eu lieu ces derniers jours » et que ces menaces pourraient persister plusieurs semaines.
Le bulletin, qui doit rester en vigueur jusqu’au 30 avril, relève que des extrémistes animés par plusieurs motivations, et notamment leur « colère face aux restrictions liées à la COVID-19 et aux résultats de l’élection » présidentielle, ont comploté en 2020, et parfois, attaqué des bâtiments officiels.
Certains « pourraient avoir été galvanisés par l’intrusion le 6 janvier » dans le Capitole, ajoute le département, en référence à l’assaut meurtrier de partisans de Donald Trump sur le siège du Congrès au moment où les élus certifiaient la victoire de son rival.
Le département se dit déterminé à protéger « les infrastructures critiques » et les « populations qui pourraient être ciblées en raison de leur religion, race, origine, identité ou opinion politique ».
Mais il invite aussi les Américains à se montrer vigilants. « Prenez en compte votre environnement et votre sécurité personnelle. Gardez les contacts d’urgence et autres informations essentielles sur vous », préconise-t-il. (AFP)