A moins de quarante-huit heures de la date anniversaire du conflit qui les oppose depuis deux ans, le gouvernement fédéral éthiopien et les autorités rebelles du Tigré ont conclu mercredi 2 novembre à Pretoria un accord de « cessation des hostilités » et de « désarmement méthodique ». Parmi les principaux points de la déclaration signée par le gouvernement éthiopien et le Front de libération du peuple du Tigré (TPLF), les deux parties s’engagent à « sauvegarder la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ethiopie ».
Les combattants du FPLT seront « désarmés, démobilisés et réintégrés » suivant un programme précis. Les deux parties ont convenu « de mettre en œuvre des mesures transitoires comprenant le rétablissement de l’ordre constitutionnel dans la région du Tigré, un cadre pour le règlement des différends politiques et un cadre politique pour la justice transitoire afin de garantir la responsabilité, la vérité et la réconciliation ont annoncé les autorités éthiopiennes ».
Le gouvernement éthiopien « renforcera sa collaboration avec les organismes humanitaires, afin de continuer à acheminer l’aide à tous ceux qui en ont besoin ». Il va aussi « poursuivre ses efforts pour rétablir les services publics et reconstruire les infrastructures de toutes les communautés touchées par le conflit ». (Le Monde avec AFP)
Les combattants du FPLT seront « désarmés, démobilisés et réintégrés » suivant un programme précis. Les deux parties ont convenu « de mettre en œuvre des mesures transitoires comprenant le rétablissement de l’ordre constitutionnel dans la région du Tigré, un cadre pour le règlement des différends politiques et un cadre politique pour la justice transitoire afin de garantir la responsabilité, la vérité et la réconciliation ont annoncé les autorités éthiopiennes ».
Le gouvernement éthiopien « renforcera sa collaboration avec les organismes humanitaires, afin de continuer à acheminer l’aide à tous ceux qui en ont besoin ». Il va aussi « poursuivre ses efforts pour rétablir les services publics et reconstruire les infrastructures de toutes les communautés touchées par le conflit ». (Le Monde avec AFP)