Les gouvernements de la Côte d’Ivoire et des pays ayant accueilli un grand nombre de réfugiés ivoiriens ces vingt dernières années ont signé, ce mardi 7 septembre, une déclaration dans laquelle ils recommandent officiellement l’invocation de la clause de cessation du statut de réfugié. En clair, ces pays estiment que les causes qui avaient poussé ces exilés à fuir leur pays n’existent plus. Ces réfugiés ivoiriens sont encore environ 50 000 dans la sous-région.
Dans un mois à Genève, le HCR proclamera cette clause de cessation, c’est-à-dire que, pour la plupart, ces réfugiés n’auront plus le statut de réfugié. Les États devraient l’annoncer avant le 31 janvier 2022. Le HCR a recommandé qu’elle prenne effet à partir du 30 juin 2022.
Cette décision intervient à un moment où 60% des réfugiés ivoiriens interrogés souhaitent être rapatriés, tandis que 30% des réfugiés et demandeurs d'asile ivoiriens en Afrique de l’Ouest et du Centre se disent indécis, et 10% ont décidé de rester dans leur pays d'accueil où ils ont développé des liens forts. (RFI)
Dans un mois à Genève, le HCR proclamera cette clause de cessation, c’est-à-dire que, pour la plupart, ces réfugiés n’auront plus le statut de réfugié. Les États devraient l’annoncer avant le 31 janvier 2022. Le HCR a recommandé qu’elle prenne effet à partir du 30 juin 2022.
Cette décision intervient à un moment où 60% des réfugiés ivoiriens interrogés souhaitent être rapatriés, tandis que 30% des réfugiés et demandeurs d'asile ivoiriens en Afrique de l’Ouest et du Centre se disent indécis, et 10% ont décidé de rester dans leur pays d'accueil où ils ont développé des liens forts. (RFI)