Alexis Kohler, SG de l'Elysée, en arrière plan
Paris - Le bras droit du président Emmanuel Macron à l'Elysée, Alexis Kohler, est visé par une plainte pour "prise illégale d'intérêt", "trafic d'influence" et "corruption passive" déposée par l'association Anticor, a appris lundi l'AFP auprès de l'avocat de l'association anticorruption.
Cette information avait été révélée par RTL et Le Monde.
L'association anticorruption, s'appuyant sur des articles du site Médiapart, dénonce les liens familiaux et professionnels étroits qui existent entre le secrétaire général de l'Elysée et l'armateur italo-suisse MSC, client important des chantiers navals français de Saint-Nazaire (STX).
Client unique des chantiers certaines années, l'armateur a joué un rôle essentiel dans les discussions sur leur avenir menées avec l'Etat français.
Or dans sa plainte, consultée par l'AFP, Anticor reproche d'abord à M. Kohler d'avoir accepté de siéger comme représentant de l'Etat au conseil d'administration de STX France de 2010 à 2012 alors qu'il "ne pouvait ignorer qu'il existait un conflit d'intérêt", l'armateur MSC ayant été fondé et dirigé par les cousins de sa mère.
Il revient désormais au parquet national financier de décider d'ouvrir ou non une enquête sur ces accusations.
Cette information avait été révélée par RTL et Le Monde.
L'association anticorruption, s'appuyant sur des articles du site Médiapart, dénonce les liens familiaux et professionnels étroits qui existent entre le secrétaire général de l'Elysée et l'armateur italo-suisse MSC, client important des chantiers navals français de Saint-Nazaire (STX).
Client unique des chantiers certaines années, l'armateur a joué un rôle essentiel dans les discussions sur leur avenir menées avec l'Etat français.
Or dans sa plainte, consultée par l'AFP, Anticor reproche d'abord à M. Kohler d'avoir accepté de siéger comme représentant de l'Etat au conseil d'administration de STX France de 2010 à 2012 alors qu'il "ne pouvait ignorer qu'il existait un conflit d'intérêt", l'armateur MSC ayant été fondé et dirigé par les cousins de sa mère.
Il revient désormais au parquet national financier de décider d'ouvrir ou non une enquête sur ces accusations.