Les militaires américains impliqués dans une frappe de drone qui avait tué 10 civils dont sept enfants fin août à Kaboul, ne seront pas sanctionnés, a annoncé lundi le Pentagone.
«Il n’y avait pas d’éléments suffisamment solides pour retenir des responsabilités personnelles», a déclaré le porte-parole du Pentagone John Kirby. La décision concernant cette frappe intervenue dans les derniers jours de la présence américaine en Afghanistan a été prise par le secrétaire à la Défense Lloyd Austin après un rapport réalisé par deux hauts gradés, le général Kenneth McKenzie et le général Richard Clarke.
Le premier est le chef du Centcom, la région militaire qui comprend l’Afghanistan. Le second est le chef des opérations spéciales. Aucun de ces deux officiers n’a émis de recommandation en vue de sanctions individuelles, a déclaré John Kirby.
Dès le 3 novembre, le Pentagone avait affirmé que cette frappe à Kaboul le 29 août était une erreur tragique mais qu’elle n’avait pas violé les lois de la guerre. «L’enquête n’a identifié aucune violation de la loi, y compris le droit de la guerre», avait dit dans un rapport le lieutenant-général Sami Said, un responsable du ministère de la Défense.
Cette frappe avait été menée la veille du retrait américain d’Afghanistan qui était intervenu le 30 août, après 20 ans de présence dans le pays. Il s’est agi de la guerre la plus longue de l’histoire des États-Unis.
«Il n’y avait pas d’éléments suffisamment solides pour retenir des responsabilités personnelles», a déclaré le porte-parole du Pentagone John Kirby. La décision concernant cette frappe intervenue dans les derniers jours de la présence américaine en Afghanistan a été prise par le secrétaire à la Défense Lloyd Austin après un rapport réalisé par deux hauts gradés, le général Kenneth McKenzie et le général Richard Clarke.
Le premier est le chef du Centcom, la région militaire qui comprend l’Afghanistan. Le second est le chef des opérations spéciales. Aucun de ces deux officiers n’a émis de recommandation en vue de sanctions individuelles, a déclaré John Kirby.
Dès le 3 novembre, le Pentagone avait affirmé que cette frappe à Kaboul le 29 août était une erreur tragique mais qu’elle n’avait pas violé les lois de la guerre. «L’enquête n’a identifié aucune violation de la loi, y compris le droit de la guerre», avait dit dans un rapport le lieutenant-général Sami Said, un responsable du ministère de la Défense.
Cette frappe avait été menée la veille du retrait américain d’Afghanistan qui était intervenu le 30 août, après 20 ans de présence dans le pays. Il s’est agi de la guerre la plus longue de l’histoire des États-Unis.