Quatre Palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza par des soldats israéliens près de la clôture frontalière, selon un nouveau bilan du ministère local de la Santé, lors de nouvelles manifestations émaillées de heurts dans l'enclave palestinienne sous blocus.
Parmi les morts figurent Haitham al-Jamal âgé de 15 ans, abattu près de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, a précisé le ministère. Un précédent bilan faisait état de trois morts.
Le ministère a également fait état de 100 autres Palestiniens blessés par les tirs, dont un photographe de l'Agence France-Presse, Mohammed Abed al-Baba, qui couvrait les manifestations.
Mohammed Abed al-Baba, qui travaille pour l'AFP depuis 2000, a été atteint sous le genou alors qu'il se trouvait à environ 200 mètres de la frontière à l'est de Jabaliya (nord), revêtu d'un gilet marqué "presse" et d'un casque pour sa protection, a témoigné le photographe.
Près de 10.000 Palestiniens se sont rassemblés à cinq points différents le long de la barrière de séparation entre la bande de Gaza et Israël, a indiqué l'armée. Des heurts ont une nouvelle fois opposé des manifestants aux soldats israéliens à travers la barrière de séparation.
L'armée a réaffirmé avoir agi "conformément aux règles d'engagement" en vigueur.
Au moins 129 Palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza par des tirs israéliens depuis le début le 30 mars de manifestations le long de la clôture frontalière. Aucun Israélien n'a été tué.
L'armée a dit avoir déployé d'importants renforts face à l'éventualité d'une mobilisation massive dans la bande de Gaza à l'occasion du dernier vendredi du ramadan.
Mais selon des correspondants de l'AFP les manifestants étaient relativement peu nombreux et la majorité ne s'est pas approchée de la clôture frontalière.
La mobilisation gazaouie est organisée au nom du droit au retour des Palestiniens sur les terres qu'ils ont fuies ou dont ils ont été chassés à la création d'Israël en 1948.
Elle dénonce aussi le blocus imposé à l'enclave palestinienne depuis plus de 10 ans par Israël qui affirme vouloir isoler le mouvement islamiste Hamas au pouvoir dans l'enclave palestinienne.
Parmi les morts figurent Haitham al-Jamal âgé de 15 ans, abattu près de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, a précisé le ministère. Un précédent bilan faisait état de trois morts.
Mohammed Abed al-Baba, qui travaille pour l'AFP depuis 2000, a été atteint sous le genou alors qu'il se trouvait à environ 200 mètres de la frontière à l'est de Jabaliya (nord), revêtu d'un gilet marqué "presse" et d'un casque pour sa protection, a témoigné le photographe.
Près de 10.000 Palestiniens se sont rassemblés à cinq points différents le long de la barrière de séparation entre la bande de Gaza et Israël, a indiqué l'armée. Des heurts ont une nouvelle fois opposé des manifestants aux soldats israéliens à travers la barrière de séparation.
L'armée a réaffirmé avoir agi "conformément aux règles d'engagement" en vigueur.
Au moins 129 Palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza par des tirs israéliens depuis le début le 30 mars de manifestations le long de la clôture frontalière. Aucun Israélien n'a été tué.
L'armée a dit avoir déployé d'importants renforts face à l'éventualité d'une mobilisation massive dans la bande de Gaza à l'occasion du dernier vendredi du ramadan.
Mais selon des correspondants de l'AFP les manifestants étaient relativement peu nombreux et la majorité ne s'est pas approchée de la clôture frontalière.
La mobilisation gazaouie est organisée au nom du droit au retour des Palestiniens sur les terres qu'ils ont fuies ou dont ils ont été chassés à la création d'Israël en 1948.
Elle dénonce aussi le blocus imposé à l'enclave palestinienne depuis plus de 10 ans par Israël qui affirme vouloir isoler le mouvement islamiste Hamas au pouvoir dans l'enclave palestinienne.