La Maison-Blanche a réitéré vendredi que seul le président ukrainien Volodymyr Zelensky était en mesure d’approuver l’ouverture de négociations entre l’Ukraine et la Russie, rejetant toute notion de pressions américaines sur Kyiv.
« Nous sommes tous d’accord qu’une solution diplomatique négociée est la meilleure des issues possibles, excepté une décision par [le président russe Vladimir] Poutine de retirer ses troupes » d’Ukraine, a déclaré vendredi à des journalistes le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, John Kirby.
« Nous avons également dit qu’il revenait au président Zelensky de dire si, et quand, il serait prêt à des négociations et la forme que prendraient ces négociations ; et personne aux États-Unis n’est en train de le sonder, d’insister ou de le pousser à la table » des négociations, a-t-il dit, d’autant plus au vu des frappes massives russes visant les infrastructures civiles en Ukraine.
Le responsable était interrogé sur des propos du chef d’état-major américain, le général Mark Milley, qui a déclaré à deux reprises récemment qu’il y avait possiblement une fenêtre d’opportunité pour entamer des discussions en vue d’une solution politique au conflit.
« Les Russes sont vraiment dans une mauvaise passe, donc vous voulez négocier à un moment où vous êtes en position de force et votre adversaire en position de faiblesse », a-t-il déclaré jeudi.
Des médias américains ont récemment rapporté que certains hauts responsables commençaient à encourager l’Ukraine à envisager des pourparlers, ce que le président Zelensky a refusé jusqu’ici.
Les États-Unis sont le principal pourvoyeur d’aide militaire à Kyiv depuis le début du conflit le 24 février.
Au G20 mardi, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov avait jugé « irréalistes » les conditions ukrainiennes pour entamer des pourparlers pour mettre fin à la guerre.
L’Ukraine réclame le retrait des troupes russes de son territoire et le retour de son intégrité territoriale, alors que Moscou a revendiqué l’annexion de quatre régions ukrainiennes fin septembre, en plus de la péninsule de Crimée annexée en 2014. (AFP)
« Nous sommes tous d’accord qu’une solution diplomatique négociée est la meilleure des issues possibles, excepté une décision par [le président russe Vladimir] Poutine de retirer ses troupes » d’Ukraine, a déclaré vendredi à des journalistes le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, John Kirby.
« Nous avons également dit qu’il revenait au président Zelensky de dire si, et quand, il serait prêt à des négociations et la forme que prendraient ces négociations ; et personne aux États-Unis n’est en train de le sonder, d’insister ou de le pousser à la table » des négociations, a-t-il dit, d’autant plus au vu des frappes massives russes visant les infrastructures civiles en Ukraine.
Le responsable était interrogé sur des propos du chef d’état-major américain, le général Mark Milley, qui a déclaré à deux reprises récemment qu’il y avait possiblement une fenêtre d’opportunité pour entamer des discussions en vue d’une solution politique au conflit.
« Les Russes sont vraiment dans une mauvaise passe, donc vous voulez négocier à un moment où vous êtes en position de force et votre adversaire en position de faiblesse », a-t-il déclaré jeudi.
Des médias américains ont récemment rapporté que certains hauts responsables commençaient à encourager l’Ukraine à envisager des pourparlers, ce que le président Zelensky a refusé jusqu’ici.
Les États-Unis sont le principal pourvoyeur d’aide militaire à Kyiv depuis le début du conflit le 24 février.
Au G20 mardi, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov avait jugé « irréalistes » les conditions ukrainiennes pour entamer des pourparlers pour mettre fin à la guerre.
L’Ukraine réclame le retrait des troupes russes de son territoire et le retour de son intégrité territoriale, alors que Moscou a revendiqué l’annexion de quatre régions ukrainiennes fin septembre, en plus de la péninsule de Crimée annexée en 2014. (AFP)