Le président russe a menacé une nouvelle fois les Occidentaux mercredi 27 avril, assurant que la Russie n'hésitera pas à utiliser ses armes les plus modernes en cas d'interférences dans la crise ukrainienne.
Le président russe Vladimir Poutine a mis en garde mercredi 27 avril contre toute intervention extérieure dans le conflit en Ukraine, promettant qu'elle rencontrerait une riposte "rapide et foudroyante". "Si quelqu'un a l'intention de s'ingérer de l'extérieur dans ce qui se passe (en Ukraine, ndlr) et de créer des menaces inacceptables pour la Russie, ils doivent savoir que notre riposte (...) sera rapide et foudroyante", a déclaré M. Poutine devant le Parlement russe.
Selon lui, la Russie n'hésitera pas à utiliser ses armes les plus modernes. "Nous avons tous ces outils dont personne d'autre ne peut se vanter actuellement. Nous n'allons pas nous vanter: nous allons les utiliser s'il le faut. Et j'aimerais que tout le monde le sache", a souligné le président russe. "Toutes les décisions là-dessus ont été déjà prises", a-t-il ajouté.
La veille, une quarantaine de pays s'étaient réunis en Allemagne à l'invitation des Etats-Unis afin de coordonner pour la première fois une accélération des livraisons d'équipements militaires que l'Ukraine réclame pour repousser l'invasion russe. Disant vouloir "voir la Russie tellement affaiblie qu'elle ne pourra plus faire le genre de choses qu'elle a faites en envahissant l'Ukraine", les Etats-Unis se sont déclarés prêts à "remuer ciel et terre" pour faire gagner l'Ukraine contre les forces de Vladimir Poutine.
Après avoir initialement rechigné à fournir des armes offensives à l'Ukraine, les Etats-Unis, comme la Grande-Bretagne, la France et la République tchèque ont sauté le pas. Même l'Allemagne, particulièrement réticente, a annoncé mardi qu'elle allait autoriser la livraison de chars de type "Guepard".
La Russie a affirmé mercredi 27 avril avoir détruit une grande quantité d'armes livrées à Kiev par l'Occident et avoir coupé ses livraisons de gaz à la Pologne et la Bulgarie. Ces deux pays membres de l'Otan et de l'UE très dépendants de l'"or bleu" russe, sont désormais approvisionnées en gaz "par leurs voisins de l'UE", a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen."Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d'effet possible sur les consommateurs européens", a assuré la cheffe de l'exécutif bruxellois dans une brève allocution à la presse.
Près de 5,3 millions de réfugiés ukrainiens ont fui leur pays depuis l'invasion par la Russie, l'ONU en attend 3 millions supplémentaires. (Orange & Média services)
Le président russe Vladimir Poutine a mis en garde mercredi 27 avril contre toute intervention extérieure dans le conflit en Ukraine, promettant qu'elle rencontrerait une riposte "rapide et foudroyante". "Si quelqu'un a l'intention de s'ingérer de l'extérieur dans ce qui se passe (en Ukraine, ndlr) et de créer des menaces inacceptables pour la Russie, ils doivent savoir que notre riposte (...) sera rapide et foudroyante", a déclaré M. Poutine devant le Parlement russe.
Selon lui, la Russie n'hésitera pas à utiliser ses armes les plus modernes. "Nous avons tous ces outils dont personne d'autre ne peut se vanter actuellement. Nous n'allons pas nous vanter: nous allons les utiliser s'il le faut. Et j'aimerais que tout le monde le sache", a souligné le président russe. "Toutes les décisions là-dessus ont été déjà prises", a-t-il ajouté.
La veille, une quarantaine de pays s'étaient réunis en Allemagne à l'invitation des Etats-Unis afin de coordonner pour la première fois une accélération des livraisons d'équipements militaires que l'Ukraine réclame pour repousser l'invasion russe. Disant vouloir "voir la Russie tellement affaiblie qu'elle ne pourra plus faire le genre de choses qu'elle a faites en envahissant l'Ukraine", les Etats-Unis se sont déclarés prêts à "remuer ciel et terre" pour faire gagner l'Ukraine contre les forces de Vladimir Poutine.
Après avoir initialement rechigné à fournir des armes offensives à l'Ukraine, les Etats-Unis, comme la Grande-Bretagne, la France et la République tchèque ont sauté le pas. Même l'Allemagne, particulièrement réticente, a annoncé mardi qu'elle allait autoriser la livraison de chars de type "Guepard".
La Russie a affirmé mercredi 27 avril avoir détruit une grande quantité d'armes livrées à Kiev par l'Occident et avoir coupé ses livraisons de gaz à la Pologne et la Bulgarie. Ces deux pays membres de l'Otan et de l'UE très dépendants de l'"or bleu" russe, sont désormais approvisionnées en gaz "par leurs voisins de l'UE", a affirmé mercredi la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen."Nous ferons en sorte que la décision de Gazprom ait le moins d'effet possible sur les consommateurs européens", a assuré la cheffe de l'exécutif bruxellois dans une brève allocution à la presse.
Près de 5,3 millions de réfugiés ukrainiens ont fui leur pays depuis l'invasion par la Russie, l'ONU en attend 3 millions supplémentaires. (Orange & Média services)