Le président ukrainien à la Maison Blanche l'année dernière
"La clé est maintenant la vitesse et le volume" de livraison des chars de combat occidentaux, a souligné le président ukrainien.
Remerciant ses alliés occidentaux pour l'envoie annoncé de chars lourds, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a maintenu la pression mercredi 25 janvier et réclamé mercredi des missiles de longue portée et des avions de combat.
"Nous devons également permettre la livraison de missiles à longue portée à l'Ukraine, c'est important. Nous devons également élargir notre coopération dans l'artillerie et (rendre possible) l'envoi d'avions de combat", a exhorté Volodymyr Zelensky dans son allocution quotidienne publiée sur les réseaux sociaux. Le dirigeant ukrainien a indiqué avoir répété sa demande auprès du secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, lors d'un entretien téléphonique.
Volodymyr Zelensky a également de nouveau remercié le président américain Joe Biden et le chancelier allemand Olaf Scholz pour avoir donné leur feu vert dans la journée à l'envoi de chars de combat occidentaux en Ukraine, une première depuis le début de l'invasion russe en février 2022.
"Je remercie tous nos alliés pour leur volonté de nous donner des chars modernes et indispensables", a-t-il dit.
Pour autant, il a tenu à souligner que "la clé", selon lui, pour renverser les forces russes sur le champ de bataille était "maintenant la vitesse et le volume" des livraisons de ses chars lourds à son armée.
"La clé est maintenant la vitesse et le volume. La vitesse d'entraînement de nos militaires, la vitesse des livraisons des tanks (...) et le volume du soutien", a-t-il martelé, alors que Kiev réclame toujours plusieurs centaines de tanks pour pouvoir lancer une contre-offensive face aux Russes.
Ces annonces de livraisons d'équipements militaires occidentaux à Kiev interviennent alors que les combats redoublent d'intensité dans l'Est ukrainien, où l'armée russe est à l'offensive ces derniers jours. Selon le président ukrainien, qui fêtait mercredi ses 45 ans, son armée doit faire face "chaque jour à des dizaines d'attaques ennemies" dans le Donbass. (AFP)
Remerciant ses alliés occidentaux pour l'envoie annoncé de chars lourds, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a maintenu la pression mercredi 25 janvier et réclamé mercredi des missiles de longue portée et des avions de combat.
"Nous devons également permettre la livraison de missiles à longue portée à l'Ukraine, c'est important. Nous devons également élargir notre coopération dans l'artillerie et (rendre possible) l'envoi d'avions de combat", a exhorté Volodymyr Zelensky dans son allocution quotidienne publiée sur les réseaux sociaux. Le dirigeant ukrainien a indiqué avoir répété sa demande auprès du secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, lors d'un entretien téléphonique.
Volodymyr Zelensky a également de nouveau remercié le président américain Joe Biden et le chancelier allemand Olaf Scholz pour avoir donné leur feu vert dans la journée à l'envoi de chars de combat occidentaux en Ukraine, une première depuis le début de l'invasion russe en février 2022.
"Je remercie tous nos alliés pour leur volonté de nous donner des chars modernes et indispensables", a-t-il dit.
Pour autant, il a tenu à souligner que "la clé", selon lui, pour renverser les forces russes sur le champ de bataille était "maintenant la vitesse et le volume" des livraisons de ses chars lourds à son armée.
"La clé est maintenant la vitesse et le volume. La vitesse d'entraînement de nos militaires, la vitesse des livraisons des tanks (...) et le volume du soutien", a-t-il martelé, alors que Kiev réclame toujours plusieurs centaines de tanks pour pouvoir lancer une contre-offensive face aux Russes.
Ces annonces de livraisons d'équipements militaires occidentaux à Kiev interviennent alors que les combats redoublent d'intensité dans l'Est ukrainien, où l'armée russe est à l'offensive ces derniers jours. Selon le président ukrainien, qui fêtait mercredi ses 45 ans, son armée doit faire face "chaque jour à des dizaines d'attaques ennemies" dans le Donbass. (AFP)