Cellou Dalein Diallo, le principal leader de l'opposition guinéenne
Une centaine de partis politiques guinéens ont créé une plateforme qui présentera une position commune à la junte au pouvoir sur le calendrier d'un retour des civils à la tête du pays. Dénommée « Collectif des partis politiques » (CPP), la nouvelle coalition a été lancée au cours d'une grande réunion des leaders de ces partis politiques ce lundi à Conakry.
Pour cette cérémonie les leaders politiques toutes tendances confondues se sont retrouvés pendant plusieurs heures au siège de l’UFDG, la principale force politique d’opposition à l’ancien régime. Objectif à cours et moyen terme : participer activement avec des propositions concrètes à la réussite de la transition en cours en Guinée en accord avec la junte.
« Nous allons lui déposer un mémo qui comportera la position qui est la nôtre par rapport aux grandes lignes de la Constitution, au code électorale, à l’organe de gestion des élections, au chronogramme et à la durée de la transition ainsi que sur le fichier », explique le président de l'UFDG Cellou Dalein Diallo, avant de poursuivre : « ça sera des propositions de ce collectif qu’on défendra autour de la table de négociation si jamais le CNRD accepte de le créer, parce que nous avons besoin d’avoir un cadre de dialogue pour essayer d’aplanir autour de la table nos divergences ». (RFI)
Pour cette cérémonie les leaders politiques toutes tendances confondues se sont retrouvés pendant plusieurs heures au siège de l’UFDG, la principale force politique d’opposition à l’ancien régime. Objectif à cours et moyen terme : participer activement avec des propositions concrètes à la réussite de la transition en cours en Guinée en accord avec la junte.
« Nous allons lui déposer un mémo qui comportera la position qui est la nôtre par rapport aux grandes lignes de la Constitution, au code électorale, à l’organe de gestion des élections, au chronogramme et à la durée de la transition ainsi que sur le fichier », explique le président de l'UFDG Cellou Dalein Diallo, avant de poursuivre : « ça sera des propositions de ce collectif qu’on défendra autour de la table de négociation si jamais le CNRD accepte de le créer, parce que nous avons besoin d’avoir un cadre de dialogue pour essayer d’aplanir autour de la table nos divergences ». (RFI)