Le colonel Mamadi Doumbouya a dit récemment dans un de ses discours qu’il interdisait aux agents des forces de défense et de sécurité de soutirer de l’agent aux chauffeurs et aux passagers annonçant même la réduction drastique des barrages routiers interurbains. Mais aujourd'hui, la pratique semble perdurer. Malgré les mesures prises au plus haut niveau de l’État, les tracasseries routières et les rackets continuent, surtout au niveau des transports interurbains.
« Jusqu’à présent, cela n’a pas été appliqué correctement comme le président l’a dit. Pour le moment, les barrages sont restés et la même manière de faire continue. Ce sont des années de coutume, ils obligent les chauffeurs aussi à payer. Celui qui ne paie pas ne bouge pas », témoigne Mamadou Yaya Baldé, secrétaire général adjoint du Syndicat des transporteurs.
« Entre Conakry et Télimélé, il y a 8 barrages. Il y a 3 barrages à 20 000 francs guinéens, les autres sont à 10 000 francs guinéens. On dit que c’est obligé, il faut que l'on paye. Si on ne paye pas, on ne passe pas », rajoute un chauffeur qui préfère camoufler son identité de peur de faire les frais des agents postés le long des routes interurbaines. (RFI)
« Jusqu’à présent, cela n’a pas été appliqué correctement comme le président l’a dit. Pour le moment, les barrages sont restés et la même manière de faire continue. Ce sont des années de coutume, ils obligent les chauffeurs aussi à payer. Celui qui ne paie pas ne bouge pas », témoigne Mamadou Yaya Baldé, secrétaire général adjoint du Syndicat des transporteurs.
« Entre Conakry et Télimélé, il y a 8 barrages. Il y a 3 barrages à 20 000 francs guinéens, les autres sont à 10 000 francs guinéens. On dit que c’est obligé, il faut que l'on paye. Si on ne paye pas, on ne passe pas », rajoute un chauffeur qui préfère camoufler son identité de peur de faire les frais des agents postés le long des routes interurbaines. (RFI)