Photo d'illustration
C'est après un long travail d'enquête que l'ONG Human Rights Watch tire ses conclusions des violences post-électorales en Guinée, après le scrutin du 18 octobre dernier. L'ONG n'est pas tendre avec les autorités. "La période postélectorale a été entachée d’actes de violence et d'une répression qui ont fait au moins 12 morts", écrit-t-elle ce jeudi.
Parmi les principaux acteurs des violences pour l'ONG : les forces de sécurité qui auraient "recouru à une force excessive". Human Rights Watch revient sur l'assignation à résidence de Cellou Dalein Diallo, les coupures d'internet ou de téléphone, ou la suspension de certains médias. Elle évoque " un contexte de répression généralisée qui a fragilisé la crédibilité des élections" et appelle les autorités à "faire preuve de vigilance pour prévenir des abus supplémentaires". (DW)
Parmi les principaux acteurs des violences pour l'ONG : les forces de sécurité qui auraient "recouru à une force excessive". Human Rights Watch revient sur l'assignation à résidence de Cellou Dalein Diallo, les coupures d'internet ou de téléphone, ou la suspension de certains médias. Elle évoque " un contexte de répression généralisée qui a fragilisé la crédibilité des élections" et appelle les autorités à "faire preuve de vigilance pour prévenir des abus supplémentaires". (DW)