Sur les 12 soldats écartés, deux l’ont été pour des « commentaires ou textes déplacés », a indiqué à la presse le commandant de la Garde nationale, le général Daniel Hokanson, refusant de préciser la nature de ces commentaires.
Ces vérifications ont été décidées après que des policiers et des militaires en civil ont participé au violent assaut contre le Capitole par des partisans du président sortant Donald Trump le 6 janvier.
Les autorités redoutent une infiltration d’extrémistes au sein des forces chargées de sécuriser mercredi la prestation de serment du nouveau président des États-Unis.
Les deux soldats dont les commentaires ont été jugés « déplacés » se trouvaient déjà à Washington quand ils ont été signalés au commandement de la Garde nationale, l’un par un supérieur hiérarchique et l’autre par une source anonyme, a précisé le général Hokanson. Ils ont été renvoyés chez eux.
10 retraits sans lien avec le Capitole
Dans le cas des 10 autres soldats écartés du dispositif de sécurité, la décision « n’a rien à voir avec les évènements qui se déroulent au Capitole ni les inquiétudes de beaucoup de monde au sujet de l’extrémisme », a assuré le porte-parole du ministère de la Défense, Jonathan Hoffman, sans fournir plus de précision.
Le FBI a annoncé lundi qu’il contrôlerait les antécédents des réservistes déployés pour la cérémonie.
« Nous voulons nous assurer que nous avons les bonnes personnes au sein du cercle » qui protègera le président et la vice-présidente, a expliqué le général William Walker, chef de la Garde nationale de Washington.
Des milliers de soldats de la Garde nationale ont déjà été déployés, et ils seront jusqu’à 25 000 mercredi dans la capitale, pour protéger une large « zone rouge » allant du Capitole, où Joe Biden et Kamala Harris prêteront serment, à la Maison-Blanche. (AFP)
Ces vérifications ont été décidées après que des policiers et des militaires en civil ont participé au violent assaut contre le Capitole par des partisans du président sortant Donald Trump le 6 janvier.
Les autorités redoutent une infiltration d’extrémistes au sein des forces chargées de sécuriser mercredi la prestation de serment du nouveau président des États-Unis.
Les deux soldats dont les commentaires ont été jugés « déplacés » se trouvaient déjà à Washington quand ils ont été signalés au commandement de la Garde nationale, l’un par un supérieur hiérarchique et l’autre par une source anonyme, a précisé le général Hokanson. Ils ont été renvoyés chez eux.
10 retraits sans lien avec le Capitole
Dans le cas des 10 autres soldats écartés du dispositif de sécurité, la décision « n’a rien à voir avec les évènements qui se déroulent au Capitole ni les inquiétudes de beaucoup de monde au sujet de l’extrémisme », a assuré le porte-parole du ministère de la Défense, Jonathan Hoffman, sans fournir plus de précision.
Le FBI a annoncé lundi qu’il contrôlerait les antécédents des réservistes déployés pour la cérémonie.
« Nous voulons nous assurer que nous avons les bonnes personnes au sein du cercle » qui protègera le président et la vice-présidente, a expliqué le général William Walker, chef de la Garde nationale de Washington.
Des milliers de soldats de la Garde nationale ont déjà été déployés, et ils seront jusqu’à 25 000 mercredi dans la capitale, pour protéger une large « zone rouge » allant du Capitole, où Joe Biden et Kamala Harris prêteront serment, à la Maison-Blanche. (AFP)