« Je ne suis pas un criminel. Je n'ai fait que mon métier. » Le journaliste algérien Khaled Drareni, condamné à trois ans de prison ferme, a rejeté les accusations portées contre lui lors de son procès en appel, mardi 7 septembre, à Alger. « Le journalisme que je pratique ne menace pas la sécurité du pays, mais le protège », a-t-il encore plaidé à l'issue de l'audience.
M. Drareni, soutenu par une forte mobilisation pour sa libération, est devenu un symbole du combat pour la liberté de la presse en Algérie. « La cour rendra sa décision le 15 septembre », a précisé à l'AFP l'un de ses avocats, Abdelghani Badi, à la fin des plaidoiries, au cours desquelles une trentaine d'avocats ont pris la parole. « Le procès s'est déroulé dans de bonnes conditions, sans querelles ni tensions. Il a donné l'impression qu'il pourrait conduire à un procès équitable s'il se conclut par une décision équitable », selon Me Badi. (Le Monde avec AFP)
M. Drareni, soutenu par une forte mobilisation pour sa libération, est devenu un symbole du combat pour la liberté de la presse en Algérie. « La cour rendra sa décision le 15 septembre », a précisé à l'AFP l'un de ses avocats, Abdelghani Badi, à la fin des plaidoiries, au cours desquelles une trentaine d'avocats ont pris la parole. « Le procès s'est déroulé dans de bonnes conditions, sans querelles ni tensions. Il a donné l'impression qu'il pourrait conduire à un procès équitable s'il se conclut par une décision équitable », selon Me Badi. (Le Monde avec AFP)