C'est pour espérer reprendre la main sur la zone dite des trois frontières (Burkina Faso, Mali, Niger) où les groupes djihadistes pullulent, que Paris a sollicité une nouvelle fois l'aide de l'armée tchadienne. Le président tchadien, Idriss Déby Itno a donné son accord pour mettre le paquet sur le fuseau centre, accompagné des militaires de l'opération Barkhane.
Pour le moment, le Tchad a déployé 1.450 soldats au Mali sous le pavillon de la Mission de l'ONU (Minusma), 5.000 autres soldats font partie de la Force conjointe du G5 Sahel, active sur la frontière nigéro-tchadienne. Cette décision du chef de l'État tchadien est saluée par la majorité au pouvoir.
Selon Abderamane Djasnabaye, le coordonnateur des partis alliés à la majorité présidentielle "le Président Déby a pris une bonne décision. C'est un panafricaniste confirmé". C'est pourquoi, "nous devons réagir en solidarité et faire en sorte que ce fléau qui gangrène l'Afrique (l'extrémisme islamiste) soit combattu et complètement éliminé sur le terrain", poursuit-il.
"Nous ne pouvons pas développer l'Afrique avec des problèmes d'insécurité. Ensemble, nous allons faire en sorte que cette question soit enrayée dans notre zone pour nous permettre de nous développer et vivre en paix.", conclut Abderamane Djasnabaye. (DW)
Pour le moment, le Tchad a déployé 1.450 soldats au Mali sous le pavillon de la Mission de l'ONU (Minusma), 5.000 autres soldats font partie de la Force conjointe du G5 Sahel, active sur la frontière nigéro-tchadienne. Cette décision du chef de l'État tchadien est saluée par la majorité au pouvoir.
Selon Abderamane Djasnabaye, le coordonnateur des partis alliés à la majorité présidentielle "le Président Déby a pris une bonne décision. C'est un panafricaniste confirmé". C'est pourquoi, "nous devons réagir en solidarité et faire en sorte que ce fléau qui gangrène l'Afrique (l'extrémisme islamiste) soit combattu et complètement éliminé sur le terrain", poursuit-il.
"Nous ne pouvons pas développer l'Afrique avec des problèmes d'insécurité. Ensemble, nous allons faire en sorte que cette question soit enrayée dans notre zone pour nous permettre de nous développer et vivre en paix.", conclut Abderamane Djasnabaye. (DW)