La Bourse de Paris restait en baisse jeudi (-0,21%) après l'ouverture proche de l'équilibre de Wall Street et le relèvement sans surprise des taux directeurs de la Banque d'Angleterre.
A 14H38 (13H38 GMT), l'indice CAC 40 reculait de 11,72 points à 5.502,57 points dans un volume d'échanges de 1,4 milliard d'euros. La veille, il avait fini en légère progression de 0,20%.
La Banque d'Angleterre (BoE) a relevé jeudi son taux directeur pour la première fois depuis la crise financière internationale, le portant à 0,50% afin de tenter de contrer une inflation accélérée depuis le vote en faveur du Brexit, et légèrement abaissé sa prévision de croissance pour 2017, à 1,6% contre 1,7%.
Après une ouverture quasiment stable, la cote parisienne avait cédé du terrain dans la matinée, sur fond d'attentisme avant l'annonce de la nomination du nouveau président de la Réserve fédérale américaine ce jeudi.
Selon le Wall Street Journal, Jerome Powell, un Républicain modéré déjà gouverneur de la Fed, devrait l'emporter dans la course à la présidence de la banque centrale.
Cette dernière a, lors de sa réunion de politique monétaire achevée mercredi, maintenu ses taux d'intérêt inchangés en signalant le rythme "solide" de l'activité.
"Il en aurait fallu beaucoup plus pour que les investisseurs changent leurs avis concernant la date de la future hausse des taux. Ils parient en effet à plus de 85% pour le mois de décembre. Seuls de très mauvais chiffres économiques (emploi et inflation) pourraient faire évoluer le consensus", ont relevé dans une note les experts de Mirabaud Securities Genève.
Du côté des indicateurs, la séance était riche des deux côtés de l'Atlantique.
Aux Etats-Unis, la productivité a augmenté de 3% au troisième trimestre, tandis que les inscriptions hebdomadaires au chômage ont légèrement baissé à la surprise des analystes.
L'Allemagne a de son côté dévoilé un taux de chômage en recul en octobre, à un nouveau plus bas depuis la réunification du pays en données brutes.
Sur le front des valeurs, Sanofi se repliait (-1,95% à 78,96 euros) après l'annonce d'un recul de son bénéfice net de 6,4% au troisième trimestre.
Worldline était pénalisé (-3,63% à 40,10 euros) par un abaissement de sa recommandation à "neutre" contre "acheter" auparavant par Citi.
Vinci gagnait à l'inverse 1,20% à 85,21 euros après que Vinci Energies, filiale du groupe, a annoncé l'acquisition de deux spécialistes européens des réseaux électriques, Infratek et Horlemann.
A 14H38 (13H38 GMT), l'indice CAC 40 reculait de 11,72 points à 5.502,57 points dans un volume d'échanges de 1,4 milliard d'euros. La veille, il avait fini en légère progression de 0,20%.
La Banque d'Angleterre (BoE) a relevé jeudi son taux directeur pour la première fois depuis la crise financière internationale, le portant à 0,50% afin de tenter de contrer une inflation accélérée depuis le vote en faveur du Brexit, et légèrement abaissé sa prévision de croissance pour 2017, à 1,6% contre 1,7%.
Après une ouverture quasiment stable, la cote parisienne avait cédé du terrain dans la matinée, sur fond d'attentisme avant l'annonce de la nomination du nouveau président de la Réserve fédérale américaine ce jeudi.
Selon le Wall Street Journal, Jerome Powell, un Républicain modéré déjà gouverneur de la Fed, devrait l'emporter dans la course à la présidence de la banque centrale.
Cette dernière a, lors de sa réunion de politique monétaire achevée mercredi, maintenu ses taux d'intérêt inchangés en signalant le rythme "solide" de l'activité.
"Il en aurait fallu beaucoup plus pour que les investisseurs changent leurs avis concernant la date de la future hausse des taux. Ils parient en effet à plus de 85% pour le mois de décembre. Seuls de très mauvais chiffres économiques (emploi et inflation) pourraient faire évoluer le consensus", ont relevé dans une note les experts de Mirabaud Securities Genève.
Du côté des indicateurs, la séance était riche des deux côtés de l'Atlantique.
Aux Etats-Unis, la productivité a augmenté de 3% au troisième trimestre, tandis que les inscriptions hebdomadaires au chômage ont légèrement baissé à la surprise des analystes.
L'Allemagne a de son côté dévoilé un taux de chômage en recul en octobre, à un nouveau plus bas depuis la réunification du pays en données brutes.
Sur le front des valeurs, Sanofi se repliait (-1,95% à 78,96 euros) après l'annonce d'un recul de son bénéfice net de 6,4% au troisième trimestre.
Worldline était pénalisé (-3,63% à 40,10 euros) par un abaissement de sa recommandation à "neutre" contre "acheter" auparavant par Citi.
Vinci gagnait à l'inverse 1,20% à 85,21 euros après que Vinci Energies, filiale du groupe, a annoncé l'acquisition de deux spécialistes européens des réseaux électriques, Infratek et Horlemann.