Quasiment six mois jour pour jour après le coup d’État, la Cédéao met en garde la junte au pouvoir. Les représentants ouest-africains rappellent que le 16 septembre à Accra, la conférence des chefs d’États et de gouvernement avait décidé que des élections présidentielle et législatives se tiendraient dans les six mois, pour restaurer l’ordre constitutionnel. Or les six mois sont quasi passés.
La Cédéao note donc « le non respect » du délai. Et cette lenteur inquiète l’organisation qui se dit « très préoccupée par l’absence de chronogramme acceptable ». Elle « exhorte » donc le nouveau pouvoir à en fournir un « dans les meilleurs délais ». La Cédéao demande aussi que les différents acteurs se parlent. En effet, beaucoup se plaignent du flou ambiant autour d’une transition qui semble naviguer à vue.
L’organisation exhorte ainsi le pouvoir à « mettre en place un cadre de dialogue », « des consultations avec les acteurs socio-politiques », « afin d’éviter une détérioration de la cohésion sociale ». (RFI)
La Cédéao note donc « le non respect » du délai. Et cette lenteur inquiète l’organisation qui se dit « très préoccupée par l’absence de chronogramme acceptable ». Elle « exhorte » donc le nouveau pouvoir à en fournir un « dans les meilleurs délais ». La Cédéao demande aussi que les différents acteurs se parlent. En effet, beaucoup se plaignent du flou ambiant autour d’une transition qui semble naviguer à vue.
L’organisation exhorte ainsi le pouvoir à « mettre en place un cadre de dialogue », « des consultations avec les acteurs socio-politiques », « afin d’éviter une détérioration de la cohésion sociale ». (RFI)