Dans la nuit du 1er février, quand la plupart des gens dorment encore, des trains arrivent au garage de la gare de l’ouest de Nanchang pour entretien. Des mécaniciens et le personnel de contrôle de maladie effectuent l’entretien des équipements du train et désinfectent les compartiments voyageurs.
Pour contrôler l’épidémie, avec l’autorisation du Conseil des affaires de l'État, le congé du Nouvel An chinois est prolongé au 2 février. Les jours fériés se termineront bientôt, à l’exception de quelques villes qui ont décidé de prolonger encore le congé avec l’autorisation de l’État. Les gens commencent à retourner aux grandes villes.
Face au moment critique de l’épidémie, sur l’artère principale de transport ferroviaire, des employés travaillant pour la période de déplacement massif du Nouvel an forment « une armée de fer qui va dans le sens inverse (notamment quand les autres évitent de sortir) ». Ils garantissent le bon fonctionnement des trains et mènent à bien les opérations de désinfection. C’est grâce à leurs efforts que les trains sont propres, avec aucun défaut, de manière à satisfaire les besoins de transport des voyageurs qui rentrent aux grandes villes après la fête.
Selon Zhang Liubo, expert en chef sur la désinfection du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, « lors d’une épidémie de maladie infectieuse, la population se déplace massivement, ce qui constitue un défi grave. Ce que font les voyageurs lors du voyage pour se protéger pourra alléger la pression exercée par l’arrivée des voyageurs sur les agents de contrôle à l’arrivée. »
Aujourd’hui toutes les gares ferroviaires qui accueillent des passagers en Chine prennent la température des voyageurs à l’entrée ou à la sortie de la gare. Si un voyageur a la fièvre dans le train, il sera immédiatement mis en quarantaine et transporté à la prochaine gare qui dispose d’une salle d’observation. Le train en question sera désinfecté en urgence. La liste des personnes ayant eu contact étroit avec le voyageur mentionné sera établie.
En ce qui concerne l’aviation civile, pour prévenir et contrôler l’épidémie du nouveau coronavirus, l’aéroport international de Pékin-Capitale a augmenté la quantité d’air frais insufflépour garantir la bonne ventilation et a multiplié le nombre d’opérations de désinfection des équipements, notamment les passerelles aéroportuaires et les tapis à bagages utilisés par les vols ayant transporté des passagers présentant la fièvre. Ces zones seront désinfectées immédiatement après l’arrivée du vol.
L’aéroport international de Pékin-Capitale a installé 49 machines de prise de température pour prendre la température de tous les passagers du vol arrivant à Pékin et tous les gens qui quittent et qui entrent dans les terminaux. En cas de passagers qui ont la fièvre, l’aéroport de Pékin a envisagé des processus et des itinéraires spéciaux de transfert pour éviter tout contact avec d’autres passagers. Tout en facilitant le déplacement des voyageurs, l’aéroport de Pékin a pris des mesures de coordination pour assurer l’approvisionnement des matériels de protection, de façon à bien protéger chaque employé en première ligne de défense contre l’épidémie.
Par Lu Yanan (journaliste au Quotidien du Peuple)
Pour contrôler l’épidémie, avec l’autorisation du Conseil des affaires de l'État, le congé du Nouvel An chinois est prolongé au 2 février. Les jours fériés se termineront bientôt, à l’exception de quelques villes qui ont décidé de prolonger encore le congé avec l’autorisation de l’État. Les gens commencent à retourner aux grandes villes.
Face au moment critique de l’épidémie, sur l’artère principale de transport ferroviaire, des employés travaillant pour la période de déplacement massif du Nouvel an forment « une armée de fer qui va dans le sens inverse (notamment quand les autres évitent de sortir) ». Ils garantissent le bon fonctionnement des trains et mènent à bien les opérations de désinfection. C’est grâce à leurs efforts que les trains sont propres, avec aucun défaut, de manière à satisfaire les besoins de transport des voyageurs qui rentrent aux grandes villes après la fête.
Selon Zhang Liubo, expert en chef sur la désinfection du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies, « lors d’une épidémie de maladie infectieuse, la population se déplace massivement, ce qui constitue un défi grave. Ce que font les voyageurs lors du voyage pour se protéger pourra alléger la pression exercée par l’arrivée des voyageurs sur les agents de contrôle à l’arrivée. »
Aujourd’hui toutes les gares ferroviaires qui accueillent des passagers en Chine prennent la température des voyageurs à l’entrée ou à la sortie de la gare. Si un voyageur a la fièvre dans le train, il sera immédiatement mis en quarantaine et transporté à la prochaine gare qui dispose d’une salle d’observation. Le train en question sera désinfecté en urgence. La liste des personnes ayant eu contact étroit avec le voyageur mentionné sera établie.
En ce qui concerne l’aviation civile, pour prévenir et contrôler l’épidémie du nouveau coronavirus, l’aéroport international de Pékin-Capitale a augmenté la quantité d’air frais insufflépour garantir la bonne ventilation et a multiplié le nombre d’opérations de désinfection des équipements, notamment les passerelles aéroportuaires et les tapis à bagages utilisés par les vols ayant transporté des passagers présentant la fièvre. Ces zones seront désinfectées immédiatement après l’arrivée du vol.
L’aéroport international de Pékin-Capitale a installé 49 machines de prise de température pour prendre la température de tous les passagers du vol arrivant à Pékin et tous les gens qui quittent et qui entrent dans les terminaux. En cas de passagers qui ont la fièvre, l’aéroport de Pékin a envisagé des processus et des itinéraires spéciaux de transfert pour éviter tout contact avec d’autres passagers. Tout en facilitant le déplacement des voyageurs, l’aéroport de Pékin a pris des mesures de coordination pour assurer l’approvisionnement des matériels de protection, de façon à bien protéger chaque employé en première ligne de défense contre l’épidémie.
Par Lu Yanan (journaliste au Quotidien du Peuple)