Depuis l’éclatement l’épidémie coronavirus, la ville de Wuhan veille à ce que les quartiers de base remplissent leurs responsabilités de prévention et de contrôle. Les comités de résidence organisent des dépistages en grande ampleur, livrent des légumes et des médicaments aux résidents en difficultés et demandent aux résidents ayant de la fièvre de se rendre aux servicesmédicaux du quartier dès que possible. Tout cela est pour bien poser « le premier pas du contrôle »de l’épidémie.
« Cela fait déjà une dizaine de jours. Grâce aux agents de quartier qui nous donnent des thermomètres et masques, grâce à leurs appels téléphoniques pour nous conforter tous les jours, mon époux et moi, nous sommes rassurés. »A dit le cinquantenaire Zhang Yuqin avec joie,du quartier Fazhan, rue Zongguan de l’arrondissement Qiaokou à Wuhan.
«Le quartier dépend beaucoup des agents de sécurité et des bénévoles pour organiser le dépistage, le nettoyage et la désinfection.»Selon Liu Derong, directeur du comité de résidence du quartier Fazhan. 25 personnes présentant la fièvre ont été recensés et selon le principe de « créer un dossier personanifié», les agents de quartier contactent ces personnes chaque jour afin de connaître leur état de santé. Le comité organise le dépistage avec le soutien ducentre de services médicaux du quartier. Les gens ayant contactéétroitement des contaminés doivent se mettre en quarantaine chez eux. Et le service digital « mini-quartier » envoie des informations sur la prévention de l’épidémie chaque jour en temps réel.
Dans le quartier de la rue Huashan de la zone de haute technologie de Donghu, 33 membres du parti communiste s’affairent. Certains ont le haut-parleur à la main, les autres écrivent des propos rimés rappelant les gens de quartierà se laver les mains fréquemment, à éviter de sortir et à porter le masque. Mobilisant ces quartiers de base, Wuhan a lancé un combat ferme contre l’épidémie. À la baie Lijia, rue Changqian de l’arrondissement Qingshan, quand un homme a la fièvre, des agents de police l’a trouvé et transporté sur une porte en boispour 1 kilomètre. Là où une ambulance attendait et l’a ramené enfin à l’hôpital.
Les centres de services médicaux du quartier sont aussi en première ligne contre l’épidémie. La plupart des médecins restent à leur poste pour effectuer le dépistage préliminaire.
Dans l’après-midi du 29 janvier, au guichet de consultation du centre de services médicauxde l’Université Huazhong des Sciences et de la Technologie, des agents d’accueil prennent la température des résidents qui viennent se faire diagnostiquer, avec un thermomètre infrarougesans contact. Si un patient a la fièvre, on lui demande en détail ses symptômes et avec qui il a avait eu contact, et il est ensuite envoyé au service qui prend en charge spécialement des patients présentant la fièvre.« Pour contrôler l’épidémie, l’ensemble de nos agents ont renoncé au congé et travaille en rotation pour assurer le dépistage préliminaire auprès des services concernées » a dit Zhou Feipeng, secrétaire du comité du parti de la médecine générale de ce centre.
Depuis le 25 janvier, ce centre a accueilli plus de 300 patients présentant la fièvre. Pour éviter un afflux paniqué, Wei Chunli, chef du centre a formé une équipe de 7 généralistes et créé une ligne directe pour informer les résidents qui se mettent en quarantaine chez eux. Sous la direction de Wu Min, infirmière en chef du service des urgences, cette équipe répond aux questions des habitants 24h sur 24h.
Selon un responsable de la Commission nationale de la santé de Wuhan, 205 centres de services médicaux du quartier (cliniques de santé pour les zones rurales) est à la hauteur des tests préliminaireset de dépistage. Ils peuvent aussi soigner à temps opportun des patients, les aider à prendre des rendez-vous avec les médecins et se charger du transfert des patients atteints de virus à des hôpitaux si besoin est. Jusqu’à la nuit du 28 janvier, ces centres de services de base à Wuhan ont accueilli 19202 personnes, ont effectué le dépistage sur 4441 patients présentant la fièvreet ont soigné ou donné des instructions sur la mise en quarantaine aux 1460 personnes.
Le Quotidien du Peuple
« Cela fait déjà une dizaine de jours. Grâce aux agents de quartier qui nous donnent des thermomètres et masques, grâce à leurs appels téléphoniques pour nous conforter tous les jours, mon époux et moi, nous sommes rassurés. »A dit le cinquantenaire Zhang Yuqin avec joie,du quartier Fazhan, rue Zongguan de l’arrondissement Qiaokou à Wuhan.
«Le quartier dépend beaucoup des agents de sécurité et des bénévoles pour organiser le dépistage, le nettoyage et la désinfection.»Selon Liu Derong, directeur du comité de résidence du quartier Fazhan. 25 personnes présentant la fièvre ont été recensés et selon le principe de « créer un dossier personanifié», les agents de quartier contactent ces personnes chaque jour afin de connaître leur état de santé. Le comité organise le dépistage avec le soutien ducentre de services médicaux du quartier. Les gens ayant contactéétroitement des contaminés doivent se mettre en quarantaine chez eux. Et le service digital « mini-quartier » envoie des informations sur la prévention de l’épidémie chaque jour en temps réel.
Dans le quartier de la rue Huashan de la zone de haute technologie de Donghu, 33 membres du parti communiste s’affairent. Certains ont le haut-parleur à la main, les autres écrivent des propos rimés rappelant les gens de quartierà se laver les mains fréquemment, à éviter de sortir et à porter le masque. Mobilisant ces quartiers de base, Wuhan a lancé un combat ferme contre l’épidémie. À la baie Lijia, rue Changqian de l’arrondissement Qingshan, quand un homme a la fièvre, des agents de police l’a trouvé et transporté sur une porte en boispour 1 kilomètre. Là où une ambulance attendait et l’a ramené enfin à l’hôpital.
Les centres de services médicaux du quartier sont aussi en première ligne contre l’épidémie. La plupart des médecins restent à leur poste pour effectuer le dépistage préliminaire.
Dans l’après-midi du 29 janvier, au guichet de consultation du centre de services médicauxde l’Université Huazhong des Sciences et de la Technologie, des agents d’accueil prennent la température des résidents qui viennent se faire diagnostiquer, avec un thermomètre infrarougesans contact. Si un patient a la fièvre, on lui demande en détail ses symptômes et avec qui il a avait eu contact, et il est ensuite envoyé au service qui prend en charge spécialement des patients présentant la fièvre.« Pour contrôler l’épidémie, l’ensemble de nos agents ont renoncé au congé et travaille en rotation pour assurer le dépistage préliminaire auprès des services concernées » a dit Zhou Feipeng, secrétaire du comité du parti de la médecine générale de ce centre.
Depuis le 25 janvier, ce centre a accueilli plus de 300 patients présentant la fièvre. Pour éviter un afflux paniqué, Wei Chunli, chef du centre a formé une équipe de 7 généralistes et créé une ligne directe pour informer les résidents qui se mettent en quarantaine chez eux. Sous la direction de Wu Min, infirmière en chef du service des urgences, cette équipe répond aux questions des habitants 24h sur 24h.
Selon un responsable de la Commission nationale de la santé de Wuhan, 205 centres de services médicaux du quartier (cliniques de santé pour les zones rurales) est à la hauteur des tests préliminaireset de dépistage. Ils peuvent aussi soigner à temps opportun des patients, les aider à prendre des rendez-vous avec les médecins et se charger du transfert des patients atteints de virus à des hôpitaux si besoin est. Jusqu’à la nuit du 28 janvier, ces centres de services de base à Wuhan ont accueilli 19202 personnes, ont effectué le dépistage sur 4441 patients présentant la fièvreet ont soigné ou donné des instructions sur la mise en quarantaine aux 1460 personnes.
Le Quotidien du Peuple