Abdel Fattah Al-Sissi lors de sa visite en France, avec Emmanuel Macron
PARIS (Reuters) - La France présente mardi "ses voeux de plein succès" au président égyptien Abdel Fattah al Sissi, au lendemain de sa réélection pour un second mandat avec 97% des voix.
"Elle souhaite que sa réélection lui permette de satisfaire les aspirations légitimes du peuple égyptien à la sécurité, à la prospérité et à la pleine expression des libertés dans le cadre constitutionnel", précise la porte-parole du Quai d'Orsay dans son point presse, mardi.
Le Quai assure que la France "continuera d'accompagner les autorités égyptiennes dans les réformes économiques courageuses qu'elles ont entreprises et poursuivra le dialogue qu'elle a engagé avec elles sur les droits de l'Homme et les libertés fondamentales".
"Face au terrorisme et au radicalisme religieux, le pluralisme et le dynamisme de la société civile sont une force sur laquelle les autorités égyptiennes doivent pouvoir s'appuyer", poursuit le ministère des Affaires étrangères.
Accusé par des ONG de "mansuétude" à l'égard de l'Egypte au nom d'intérêts commerciaux et sécuritaires, Emmanuel Macron avait insisté cet automne sur l'importance du respect des droits de l'Homme lors d'un entretien avec Abdel Fatah al Sissi à Paris, tout en refusant de donner "des leçons" à son homologue égyptien.
"Elle souhaite que sa réélection lui permette de satisfaire les aspirations légitimes du peuple égyptien à la sécurité, à la prospérité et à la pleine expression des libertés dans le cadre constitutionnel", précise la porte-parole du Quai d'Orsay dans son point presse, mardi.
Le Quai assure que la France "continuera d'accompagner les autorités égyptiennes dans les réformes économiques courageuses qu'elles ont entreprises et poursuivra le dialogue qu'elle a engagé avec elles sur les droits de l'Homme et les libertés fondamentales".
"Face au terrorisme et au radicalisme religieux, le pluralisme et le dynamisme de la société civile sont une force sur laquelle les autorités égyptiennes doivent pouvoir s'appuyer", poursuit le ministère des Affaires étrangères.
Accusé par des ONG de "mansuétude" à l'égard de l'Egypte au nom d'intérêts commerciaux et sécuritaires, Emmanuel Macron avait insisté cet automne sur l'importance du respect des droits de l'Homme lors d'un entretien avec Abdel Fatah al Sissi à Paris, tout en refusant de donner "des leçons" à son homologue égyptien.