New York (awp/afp) - La livre britannique, particulièrement chahutée depuis le début de la semaine, est tombée mercredi à son plus bas niveau en dix mois face au dollar tandis que l'euro reculait un peu face au billet vert.
Vers 19H00 GMT (21H00 à Paris), la monnaie unique européenne valait 1,1648 dollar, contre 1,1661 dollar mardi vers 21H00 GMT.
La devise européenne était également en repli face à la monnaie nipponne à 131,43 yens contre 131,63 yens mardi soir.
Le dollar se stabilisait face au yen à 112,84 yens contre 112,88 yens mardi soir.
"La livre reste la grande perdante de la semaine" sur le marché des changes "entre des données faibles sur l'économie britannique et les inquiétudes croissantes sur le Brexit", a relevé Omer Esiner de Commonwealth Foreign Exchange.
La devise du Royaume-Uni est ainsi tombée à son plus bas niveau depuis mars face à l'euro, à 89,32 cents pour un euro, et depuis septembre face au dollar, à 1,3010 dollar.
Le marché des changes se focalisait mercredi sur l'inflation britannique, qui s'est maintenue à 2,4% en juin sur un an, en deçà des attentes des marchés.
"La faiblesse de l'inflation commence à semer le doute chez les investisseurs sur la prochaine hausse des taux d'intérêt de la Banque d'Angleterre (BoE)", a estimé Lukman Otunuga, analyste chez FXTM.
La BoE, qui affiche pour l'instant un taux directeur bas à 0,5%, pourrait le remonter lors de sa prochaine réunion, en août, mais la faiblesse de l'inflation et les incertitudes entourant le Brexit pourraient retarder cette décision.
Or une hausse des taux directeurs de la banque centrale rend une monnaie plus rémunératrice et tout report tend à peser sur la devise.
Les cambistes surveillaient aussi les déclarations du président de la banque centrale américaine (Fed), Jerome Powell, qui répondait mercredi aux questions de parlementaires de la Chambre des représentants après celles mardi de sénateurs.
Il avait alors affirmé que l'institution avait bien l'intention de tenir le cap de sa politique monétaire, en relevant graduellement les taux d'intérêt malgré les incertitudes liées aux bras de fer commerciaux, des propos qui ont soutenu la monnaie américaine.
Le patron de la Fed n'a pas fait de nouvelles annonces surprenantes mercredi.
La publication du Livre beige de l'institution, qui dresse un constat de l'économie au mois de juin et début juillet, n'a pas non plus beaucoup ému les cambistes.
Le rapport souligne que l'inquiétude autour des tarifs douaniers se répand parmi les industriels américains mais aussi que globalement, l'activité de la première économie mondiale a continué de croître de façon modérée.
En zone euro, l'inflation a été confirmée à 2% en juin sur un an, selon Eurostat.
Vers 19H00 GMT, l'once d'or valait 1.227,86 dollars, contre 1.227,57 dollars mardi à 21H00 GMT.
La monnaie chinoise a terminé à 6,7189 yuans pour un dollar, contre 6,7224 yuans pour un dollar mardi à 15H30 GMT.
Le bitcoin valait 7.423,56 dollars, contre 7.314,00 dollars mardi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.
Vers 19H00 GMT (21H00 à Paris), la monnaie unique européenne valait 1,1648 dollar, contre 1,1661 dollar mardi vers 21H00 GMT.
La devise européenne était également en repli face à la monnaie nipponne à 131,43 yens contre 131,63 yens mardi soir.
Le dollar se stabilisait face au yen à 112,84 yens contre 112,88 yens mardi soir.
"La livre reste la grande perdante de la semaine" sur le marché des changes "entre des données faibles sur l'économie britannique et les inquiétudes croissantes sur le Brexit", a relevé Omer Esiner de Commonwealth Foreign Exchange.
La devise du Royaume-Uni est ainsi tombée à son plus bas niveau depuis mars face à l'euro, à 89,32 cents pour un euro, et depuis septembre face au dollar, à 1,3010 dollar.
Le marché des changes se focalisait mercredi sur l'inflation britannique, qui s'est maintenue à 2,4% en juin sur un an, en deçà des attentes des marchés.
"La faiblesse de l'inflation commence à semer le doute chez les investisseurs sur la prochaine hausse des taux d'intérêt de la Banque d'Angleterre (BoE)", a estimé Lukman Otunuga, analyste chez FXTM.
La BoE, qui affiche pour l'instant un taux directeur bas à 0,5%, pourrait le remonter lors de sa prochaine réunion, en août, mais la faiblesse de l'inflation et les incertitudes entourant le Brexit pourraient retarder cette décision.
Or une hausse des taux directeurs de la banque centrale rend une monnaie plus rémunératrice et tout report tend à peser sur la devise.
Les cambistes surveillaient aussi les déclarations du président de la banque centrale américaine (Fed), Jerome Powell, qui répondait mercredi aux questions de parlementaires de la Chambre des représentants après celles mardi de sénateurs.
Il avait alors affirmé que l'institution avait bien l'intention de tenir le cap de sa politique monétaire, en relevant graduellement les taux d'intérêt malgré les incertitudes liées aux bras de fer commerciaux, des propos qui ont soutenu la monnaie américaine.
Le patron de la Fed n'a pas fait de nouvelles annonces surprenantes mercredi.
La publication du Livre beige de l'institution, qui dresse un constat de l'économie au mois de juin et début juillet, n'a pas non plus beaucoup ému les cambistes.
Le rapport souligne que l'inquiétude autour des tarifs douaniers se répand parmi les industriels américains mais aussi que globalement, l'activité de la première économie mondiale a continué de croître de façon modérée.
En zone euro, l'inflation a été confirmée à 2% en juin sur un an, selon Eurostat.
Vers 19H00 GMT, l'once d'or valait 1.227,86 dollars, contre 1.227,57 dollars mardi à 21H00 GMT.
La monnaie chinoise a terminé à 6,7189 yuans pour un dollar, contre 6,7224 yuans pour un dollar mardi à 15H30 GMT.
Le bitcoin valait 7.423,56 dollars, contre 7.314,00 dollars mardi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.