Le chef de la mission de l’ONU au Mali (Minusma) a réclamé mardi 18 octobre au Conseil de sécurité les moyens nécessaires pour assurer son mandat dans un pays où la situation sécuritaire reste « volatile » dans plusieurs régions et où ses actions subissent des « restrictions ».
Alors que quatre nouveaux casques bleus ont été tués lundi par un engin explosif improvisé, El-Ghassim Wane a décrit « une situation sécuritaire, humanitaire et des droits de l’homme très difficile ». « La situation sécuritaire reste volatile dans le centre du Mali et dans la zone des trois frontières Mali-Burkina Faso-Niger », a-t-il ajouté.
« Nous utilisons nos ressources de la manière la plus créative et flexible possible », mais la « détermination » des casques bleus sur le terrain « ne peut pas remplacer les moyens dont nous avons désespérément besoin », a-t-il encore insisté, décrivant un « environnement opérationnel difficile ».
Le rapport du secrétaire général Antonio Guterres examiné lors cette réunion souligne notamment les « restrictions de mouvement et d’accès » rencontrées par la Minusma, la plupart imposées par les autorités maliennes, ainsi que des « campagnes de désinformation » contre la mission. (Le Monde avec AFP)
Alors que quatre nouveaux casques bleus ont été tués lundi par un engin explosif improvisé, El-Ghassim Wane a décrit « une situation sécuritaire, humanitaire et des droits de l’homme très difficile ». « La situation sécuritaire reste volatile dans le centre du Mali et dans la zone des trois frontières Mali-Burkina Faso-Niger », a-t-il ajouté.
« Nous utilisons nos ressources de la manière la plus créative et flexible possible », mais la « détermination » des casques bleus sur le terrain « ne peut pas remplacer les moyens dont nous avons désespérément besoin », a-t-il encore insisté, décrivant un « environnement opérationnel difficile ».
Le rapport du secrétaire général Antonio Guterres examiné lors cette réunion souligne notamment les « restrictions de mouvement et d’accès » rencontrées par la Minusma, la plupart imposées par les autorités maliennes, ainsi que des « campagnes de désinformation » contre la mission. (Le Monde avec AFP)