PARIS (Reuters) - La cote de popularité de François Fillon, affaibli par l'affaire des emplois potentiellement fictifs de son épouse, a chuté de 19 points en un mois, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match publié mercredi.
Un peu plus d'un quart (26%) des personnes interrogées déclarent avoir une excellente ou une bonne opinion du principal candidat de la droite à la présidentielle d'avril-mai, qui pâtit depuis la fin janvier des révélations du Canard enchaîné.
"Une chute exceptionnelle qui traduit une rupture d'opinion", selon Frédéric Dabi, directeur général délégué de l'Ifop, cité par Paris Match.
L'institut avait enregistré un effondrement supérieur pour Dominique Strauss-Kahn (-29 points) en mai 2011, après des accusations d'agression sexuelle à New York, et des chutes tout aussi vertigineuses pour l'ex-ministre socialiste Jérôme Cahuzac (-21) à la suite de révélations sur un compte caché en Suisse ou Michèle Alliot-Marie (-17), mise en cause en 2011 pour ses liens avec des personnalités proches du régime tunisien de Ben Ali.
Cette enquête été menée par téléphone, du 10 au 11 février, auprès d'un échantillon de 1.007 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Un peu plus d'un quart (26%) des personnes interrogées déclarent avoir une excellente ou une bonne opinion du principal candidat de la droite à la présidentielle d'avril-mai, qui pâtit depuis la fin janvier des révélations du Canard enchaîné.
"Une chute exceptionnelle qui traduit une rupture d'opinion", selon Frédéric Dabi, directeur général délégué de l'Ifop, cité par Paris Match.
L'institut avait enregistré un effondrement supérieur pour Dominique Strauss-Kahn (-29 points) en mai 2011, après des accusations d'agression sexuelle à New York, et des chutes tout aussi vertigineuses pour l'ex-ministre socialiste Jérôme Cahuzac (-21) à la suite de révélations sur un compte caché en Suisse ou Michèle Alliot-Marie (-17), mise en cause en 2011 pour ses liens avec des personnalités proches du régime tunisien de Ben Ali.
Cette enquête été menée par téléphone, du 10 au 11 février, auprès d'un échantillon de 1.007 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.