PARIS (Reuters) - L'honnêteté et la probité sont les qualités les plus importantes pour un président de la République, estiment une majorité de sondés selon une étude Ipsos-Sopra Steria publiée mercredi, au lendemain d'un débat présidentiel émaillé de piquants échanges sur le sujet.
Deux tiers des sondés (65%) placent en tête ces deux qualités comme nécessaires à l'exercice présidentiel, suivies de la détermination (privilégiée par les électeurs de droite) et de la capacité à bien s'entourer, selon cette enquête réalisée pour France Télévisions et Radio France.
Le candidat de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, se voit accorder le plus fort taux de confiance en matière de transparence et de moralisation de la vie politique parmi les cinq favoris des sondages.
Plus de la moitié des sondés (52%) se disent tout à fait confiants ou plutôt confiants à son égard, devant Benoît Hamon (42%), Emmanuel Macron (40%) et Marine Le Pen (29%).
Le candidat de la droite, François Fillon, prend la dernière place, 85% des sondés ne lui accordant pas leur confiance dans ce domaine ("plutôt pas confiance" ou "pas du tout confiance").
En vue de garantir la transparence et la moralisation de la vie politique, les sondés privilégient le rôle de la justice et de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATPV). Seul un tiers de sondés jugent toutefois la Haute autorité efficace pour contrôler le patrimoine des responsables publics.
Les médias ne recueillent la confiance que de 27% des sondés pour assurer la transparence et la moralisation de la vie politique. Près de trois-quarts estiment que la plupart des hommes et des femmes politiques sont corrompus.
Enfin, plus de 80% de sondés jugent indispensable ou souhaitable de rendre inéligible à vie les personnes condamnées pour corruption, et d'exiger un casier judiciaire vierge pour tout candidat à une élection.
Ce sondage a été mené du 30 au 31 mars auprès d'un échantillon représentatif de 1.005 personnes inscrites sur les listes électorales.
Deux tiers des sondés (65%) placent en tête ces deux qualités comme nécessaires à l'exercice présidentiel, suivies de la détermination (privilégiée par les électeurs de droite) et de la capacité à bien s'entourer, selon cette enquête réalisée pour France Télévisions et Radio France.
Le candidat de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, se voit accorder le plus fort taux de confiance en matière de transparence et de moralisation de la vie politique parmi les cinq favoris des sondages.
Plus de la moitié des sondés (52%) se disent tout à fait confiants ou plutôt confiants à son égard, devant Benoît Hamon (42%), Emmanuel Macron (40%) et Marine Le Pen (29%).
Le candidat de la droite, François Fillon, prend la dernière place, 85% des sondés ne lui accordant pas leur confiance dans ce domaine ("plutôt pas confiance" ou "pas du tout confiance").
En vue de garantir la transparence et la moralisation de la vie politique, les sondés privilégient le rôle de la justice et de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATPV). Seul un tiers de sondés jugent toutefois la Haute autorité efficace pour contrôler le patrimoine des responsables publics.
Les médias ne recueillent la confiance que de 27% des sondés pour assurer la transparence et la moralisation de la vie politique. Près de trois-quarts estiment que la plupart des hommes et des femmes politiques sont corrompus.
Enfin, plus de 80% de sondés jugent indispensable ou souhaitable de rendre inéligible à vie les personnes condamnées pour corruption, et d'exiger un casier judiciaire vierge pour tout candidat à une élection.
Ce sondage a été mené du 30 au 31 mars auprès d'un échantillon représentatif de 1.005 personnes inscrites sur les listes électorales.