Le président Ndayishimiye du Burundi
Un dialogue politique entre le gouvernement et l’Union européenne a débuté ce mardi 2 février à Bujumbura. Les autorités burundaises et l'UE doivent discuter de la levée des sanctions budgétaires prises contre le pouvoir burundais au début de la crise 2015 notamment pour « de graves violations des droits de l’homme » imputées alors au régime en place. Déverrouillage de l’espace politique, liberté de parole et d’association, violations des droits de l’homme, corruption généralisée, accès des sociétés occidentales aux marchés publics…
L’Union européenne et ses états membres demandent des mesures concrètes pour lever les sanctions prises contre Gitega, au plus fort de la crise de 2015. De son côté le pouvoir burundais vient, fort opportunément, de lâcher du lest en libérant quatre journalistes qui croupissaient en prison depuis plus d’une année et en annonçant prochaine réouverture des médis sous sanctions, presse ses partenaires européens de tourner la page sombre de 2015 en mettant fin à des sanctions budgétaires qui l’étranglent. (RFI)
L’Union européenne et ses états membres demandent des mesures concrètes pour lever les sanctions prises contre Gitega, au plus fort de la crise de 2015. De son côté le pouvoir burundais vient, fort opportunément, de lâcher du lest en libérant quatre journalistes qui croupissaient en prison depuis plus d’une année et en annonçant prochaine réouverture des médis sous sanctions, presse ses partenaires européens de tourner la page sombre de 2015 en mettant fin à des sanctions budgétaires qui l’étranglent. (RFI)