Au Sahel, la lutte contre le terrorisme ne peut être menée seule. « Il faut une variété d'acteurs pour faire face aux défis de taille dans la région », a déclaré Jean-Pierre Lacroix, le Secrétaire général adjoint des Nations Unies aux opérations de paix.
Devant le Conseil de sécurité, M. Lacroix a salué la « coordination accrue des acteurs de la sécurité » au Sahel, à savoir les armées nationales, la force française Barkhane, la Mission des Nations Unies au Mali (MINUSMA), le groupe de travail Takuba ainsi que la Force conjointe du G5 Sahel qui regroupe le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad.
Cette coordination des efforts a, selon lui, accru la pression sur les groupes terroristes. « Malgré la pandémie de Covid-19, il convient de noter que les efforts de lutte contre le terrorisme au Sahel se sont en fait intensifiés », a souligné le Secrétaire général adjoint. (ONU Info)
Devant le Conseil de sécurité, M. Lacroix a salué la « coordination accrue des acteurs de la sécurité » au Sahel, à savoir les armées nationales, la force française Barkhane, la Mission des Nations Unies au Mali (MINUSMA), le groupe de travail Takuba ainsi que la Force conjointe du G5 Sahel qui regroupe le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad.
Cette coordination des efforts a, selon lui, accru la pression sur les groupes terroristes. « Malgré la pandémie de Covid-19, il convient de noter que les efforts de lutte contre le terrorisme au Sahel se sont en fait intensifiés », a souligné le Secrétaire général adjoint. (ONU Info)