ABUJA (Reuters) - Le Nigeria et l'Arabie saoudite prévoient de rédiger un protocole d'accord sur un partenariat pétrolier et gazier qui pourrait conduire à la construction d'une nouvelle raffinerie et à des investissements dans le gaz naturel liquéfié, a déclaré vendredi le ministère du pétrole du Nigeria.
Le Nigeria importe la majeure partie de son pétrole, bien qu'il soit le plus grand producteur de pétrole brut d'Afrique, en raison de ses raffineries délabrées. Le mois dernier, la compagnie pétrolière nigériane a déclaré qu'elle était en pourparlers avec différents consortiums pour réviser ses raffineries et économiser des milliards de dollars sur les importations de carburant.
Le ministère nigérian du pétrole, dans une déclaration publiée quelques jours après que le ministre du pétrole Emmanuel Kachikwu eut eu des entretiens avec des responsables saoudiens de l'énergie, a déclaré qu'un premier projet de protocole d'accord serait prêt dans la première semaine de mai.
"Les domaines d'intérêt couvriront la modernisation de la raffinerie existante, la construction d'une toute nouvelle raffinerie, les investissements dans le GNL et le commerce des approvisionnements en produits bruts et raffinés ", a déclaré le ministère dans son communiqué.
Il a ajouté que le ministre saoudien de l'énergie Khalid Al-Falih avait réitéré la possibilité d'établir une raffinerie indépendante au Nigeria, qu'il considérait comme la meilleure plaque tournante pour atteindre d'autres pays africains.
Saudi Aramco développe ses activités en aval, telles que le raffinage et la production pétrochimique, dans le cadre de son ambition de devenir la plus grande entreprise énergétique intégrée du monde.
Le Nigeria importe la majeure partie de son pétrole, bien qu'il soit le plus grand producteur de pétrole brut d'Afrique, en raison de ses raffineries délabrées. Le mois dernier, la compagnie pétrolière nigériane a déclaré qu'elle était en pourparlers avec différents consortiums pour réviser ses raffineries et économiser des milliards de dollars sur les importations de carburant.
Le ministère nigérian du pétrole, dans une déclaration publiée quelques jours après que le ministre du pétrole Emmanuel Kachikwu eut eu des entretiens avec des responsables saoudiens de l'énergie, a déclaré qu'un premier projet de protocole d'accord serait prêt dans la première semaine de mai.
"Les domaines d'intérêt couvriront la modernisation de la raffinerie existante, la construction d'une toute nouvelle raffinerie, les investissements dans le GNL et le commerce des approvisionnements en produits bruts et raffinés ", a déclaré le ministère dans son communiqué.
Il a ajouté que le ministre saoudien de l'énergie Khalid Al-Falih avait réitéré la possibilité d'établir une raffinerie indépendante au Nigeria, qu'il considérait comme la meilleure plaque tournante pour atteindre d'autres pays africains.
Saudi Aramco développe ses activités en aval, telles que le raffinage et la production pétrochimique, dans le cadre de son ambition de devenir la plus grande entreprise énergétique intégrée du monde.
PRÉSIDENTIELLE 2024
FRANCE
